50 Thoughts That Can Motivate You to Do Anything

Sometimes it’s hard to motivate oneself. We all have bad days. Those mornings when we are faced with tons of stuff to do and not a clue where to start (although, just starting anything is the best decision on those mornings). Those situations when the guy you are talking to is so negative and sends you so many bad things, you think your world is gonna end (hey, you know, his/her day does not need to be yours, just ask what is the source of their grief, be empathetic and move on). Anyhow, for those bad days, and all the other numerous good ones, just keep this list handy. It’s the best 50 self-motivating ideas you can have a look at in the morning, before going to bed or just use in your next meditation.

It’s not about Coué’s method or funky positive thinking mumbo-jumbo. It’s a simple reminder that discipline, hard work and passion are the better engines for success. And as a friend of mine used to say: either you win or you learn. This helps you looking at failure as a great opportunity to learn and make progress!

A while back I wrote 7 simple ways to get motivated on Monday. Those 50 thoughts that can motivate you to do anything are a wonderful add to my post, I encourage you to print them, to get them handy in your OneNote or just to read them every day. Nothing can resist passionate people. Yes, there will bad days, there will be learnings, just stay put and continue believing in yourself whatever the morons tell you. And my experience has taught me that there are many, many morons out there. Just ignore them!

Photo by Fab Lentz on Unsplash

 

Les robots et la fin de l’humanité

https://unsplash.com/ryantauss

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Jour 634. Je lisais ce matin le blog de Paul Jorion et en particulier le billet de AncestraL, intitulé Le 1% se débarrassera bientôt des 99% encombrants, partiellement tiré de l’article de Bill Joy, un des fondateurs de Sun Microsystems (société aujourd’hui disparue ayant été rachetée par Oracle il y a quelques années), paru dans Wired en avril 2000, Why the future doesn’t need us. Si le cœur vous en dit, et si vous en avez le temps, lisez l’article de Joy ainsi que celui d’AncestraL.

Tous les deux ont pour fondement la peur qu’engendre toute nouvelle technologie ou ensemble de nouvelles technologies. L’homme a toujours en effet aimé jouer aux apprentis sorciers. Avec les technologies nucléaires, biologies et chimiques aux XXème siécle (cela me rappelle mes cours et TP de NBC quand j’étais Aspirant des Forces Aériennes Stratégiques), et maintenant avec la génétique, nanotechnologie et robotique (GNR). A ceci, AncestraL lie les dérives actuelles du capitalisme qui enrichie 1% de la population au détriment des 99% restant.

De mes quelques années d’ingénieurs et de celles de professionnel des technologies de l’information, il me reste les pensées suivantes :

  1. De tout temps les Cassandre ont existé, prévoir les mauvaises nouvelles et la fin de l’humanité est un sport international. Je préfère l’optimisme au pessimisme, cela me permet de dormir heureux.
  2. Depuis que l’homme est homme, il a toujours existé une frange dominante et une majorité dominée. Il est cependant indéniable que la richesse du monde augmente, comme l’entropie, et que même si les inégalités continuent, la population du monde vit de mieux en mieux. Ce n’est pas parce qu’un problème apparait en surface que le fond en est tapissé.
  3. La technologie peut nous filer entre les doigts et causer notre perte. On l’a vu à Fukushima ou Tchernobyl. Ce n’est certes pas réjouissant, mais c’est un risque. Devons-nous rester dans l’obscurantisme ou prendre des risques, la question est tranchée pour moi !
  4. Nous disparaîtront un jour totalement. Nous ne sommes qu’une poussière à l’échelle de l’univers, voire une erreur ! Dieu ne joue pas au dé, ce n’est pas pour autant qu’il avait prévu notre création, si tant est on croit à Dieu. Disparaitrons-nous de notre fait, de l’extinction de notre soleil ou de la rencontre avec une météorite géante ? Qui sait, la seule chose qui soit certaine est que l’humanité mourra ! Faut-il pour autant passer son temps à se regarder le nombril pour autant, en se disant que nos auteurs de science-fiction sont prescients ? Pour ma part, la réponse est non.

Transhumanisme, fin du monde, invasion des robots, l’homme a toujours tout fait pour allonger sa vie, a toujours éprouvé de la curiosité et a toujours exploité les plus faibles au bénéfice des plus forts, mais que de progrès depuis les trois, quatre cents dernières années. Alors, les Cassandre auront toujours beau jeu de nous dépeindre un futur atroce. A la fin, quoi qu’il arrive, nous auront fait, en tant que société, ce que nous étions capable de faire au moment où nous l’avons fait, rien de plus, rien de moins !

Happiness, smile and music

(c) The Piano Guys

(c) The Piano Guys

Day 611. Okay, yesterday’s post was a rant. Not really against our politics who, by design, are freaking liars, but against stupidity of our world that seems more interested by scandals and trivialities, than real questions and challenges. Hopefully, there’s a ton of persons who are seeing things positively, who contributes to happiness, who help building a never ending better world. The video below is one of those moments. I love music, particularly classical music, and a piano is on my gift list (mine does not work anymore, grrrr).

I just bumped on the below video. Three things made me smile in this video: the beat, the smiles, the ice. Whether you like « Let It Go » from « Frozen » or not (or cannot listen to it anymore :-)), the mix between Vivaldi’s Winter and Let it Go is well managed and joyously played. The piano and cello players are just looking as they are enjoying themselves, so refreshing when most people complain about their job. The ice castle is wonderfully made and wait until the last images for a full view. Enjoy, and I hope it will make you smile as it made my day.

First gear on… start me up!

https://unsplash.com/

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Day 598. Holidays, tick! African kick-off, tick! New job onboarding, tick! First kiteboarding session, tick! Still to be made: put financial accounts in order, refresh the dream board, have a beer in the sun, plan articles for this blog…

Overall, got tons of ideas, stopping all engines makes you think and provides a new perspective on life, love, and the universe. Tons of stuffs happened over the last four weeks and provided me tons of learning, tears and laughs. I had too much Rosé for sure, but hey, it’s the holidays in the « Midi ». Holidays were too short, as all holidays are, but hey, all precious stuffs are scarce. Time flew and when I look back, I only see quality time, so it was a good life spent!

I’m energized, I’m full of ideas, I’m delighted to be back and kicking! I will change again some little things to this blog, but it feels good to type this daily post. Do not expect anything special, do not prepared to be surprised, just do! This will be the theme of the coming weeks, months, and why not years: stop the dreaming, start the doing!

Over to you!

Votre altitude est liée à votre attitude

Article (Original article in English) paru dans le Matinal du 25 octobre 2011.

L’optimisme est contagieux et un sourire ne coute rien. Ce sont deux aphorismes bien connus. Dans l’entreprise, ils peuvent devenir votre passeport pour progresser et grimper l’échelle sociale. Entre deux candidats à un emploi, celui avec la bonne attitude prend souvent un meilleur départ.

Quand vous êtes au bureau, aimez-vous passer du temps en commérages avec vos collègues ? Vous plaignez-vous de vos clients ou de votre charge de travail ? Il y a un dicton de Robin Sharma que j’aime particulièrement: les victimes parlent de problèmes, les leaders de solutions. Je crois que ceci est à la source de nos attitudes.

Avoir la bonne attitude n’est pas équivalent à être un optimiste béat. Il s’agit d’appréhender les défis et de voir comment les surmonter. Il s’agit de voir comment affronter nos peurs. Il s’agit de demander de l’aide lorsque cela est nécessaire. Il s’agit de mettre en place la bonne équipe. Il s’agit de rentrer dans le costume du leader.

Oh, je ne dis pas que la vie sera rose et qu’avoir la bonne attitude vous permettra de franchir tous les obstacles. Cependant, l’effet papillon travaille deo concert avec l’attitude : un petit changement peut produire un effet énorme. Vous pouvez alors vous demander : quelle est la bonne attitude ?

Une bonne attitude a quatre caractéristiques : optimisme, réalisme, action et honnêteté. Sans optimisme, aucune solution n’est possible. Pour chaque défi, vous devez rechercher une solution, et elle peut exiger beaucoup d’efforts. Le réalisme est la clé, Rome ne s’est pas faite en un jour et décrire le chemin vers la solution est essentielle pour obtenir l’accord de toutes les parties prenantes.

L’honnêteté est la seule façon d’agir ! Vous devez être sincère et transparent. Et vous devez être passionné par la solution que vous proposez. Enfin, tous les beaux plans ne sont rien sans des mesures fortes et fermes. Ne succombez pas à la paralysie de l’analyse. Comme on dit, il vaut mieux se faire pardonner que de demander la permission. Donc agissez maintenant et honorez vos promesses.

Si vous venez tous les matins avec une attitude optimiste, réaliste, honnête et tournée vers l’action, vous verrez votre niveau de vol augmenter régulièrement. Rassembler des alliés autour de vous, vous attirera les personnes talentueuses qui voudront travailler sous votre direction. Le ciel est la limite, vous pouvez atteindre la Lune en visant les étoiles !

Soyez passionné et énergique, illuminez votre visage avec un sourire et venez travailler avec l’attitude qui fera de chaque jour le meilleur de tous, quoi qu’il arrive !

Chaque crise est une opportunité

Article paru dans Le Matinal du 4 octobre 2011

En chinois, le mot crise est représenté par deux idéogrammes: Wei Ji. Il pourrait être traduit par les mots danger et moment décisif. Le mot crise lui-même vient du grec ancien krisis, qui signifie décision. Quand vous y réfléchissez, c’est exactement ce qu’est une crise : un moment où vous êtes forcé à prendre une décision. La prise de décisions est l’un des nombreux traits d’un leader.
Bien sûr, la crise mondiale que nous traversons est profonde. Elle va bien au-delà d’une simple crise financière. Elle exige une reconstruction complète de notre société. De ce fait, d’immenses possibilités s’ouvrent devant chacun de nous, autant d’occasions de participer à un nouveau monde. La bulle Internet de 2000 a donné naissance à ce qu’on appelle aujourd’hui le Web 2.0. Je vois la crise actuelle comme la naissance du monde 2.0.
Les femmes qui ont donné naissance à un enfant vous diront que, bien que ce soit un moment de joie, vous êtes plein de doute et de douleur. Ne parlons pas de la crise post-partum, où la dépression peut être profonde et entrainer beaucoup de questions.

Bienvenue dans le monde 2.0

Avec l’avènement du Web 2.0, les gens sont passés de la consommation de données à la création de données. Une économie de l’information a émergé, et brasse aujourd’hui plusieurs milliards de dollars, euros ou yuans. Avec le Web 2.0, l’information est créée et partagée instantanément. Rien ne peut être plus caché. Le Web 2.0 a été le combustible de la chute des tyrans, le Web 2.0 a créé Wikileaks, les technologies Web 2.0 ont rendu possible la crise des subprimes, le Web 2.0 permet aux ONG de se déplacer rapidement là où les gens ont besoin. Deux faces d’une même pièce.
Cette crise représente des dangers et des opportunités: Danger de perdre notre travail parce que les entreprises souffrent, possibilité de changer d’emploi pour un plus épanouissant; danger de perdre nos économies, occasion d’apprendre d’autres façons de contribuer à notre société; danger d’être à la merci des escrocs promettant le paradis pour en profiter pour vous voler, possibilité de se débarrasser de ces escrocs une fois pour toutes.
Chacun de nous a un pouvoir que nos parents, grands-parents et ancêtres n’ont jamais eu. Cette crise ouvre des opportunités énormes! Êtes-vous prêt à saisir certains de ceux-là?

Un retour sur la règle numéro 1 – Débranchez votre télévision !

Alors que je parcourais mes fils de news du jour, comme je le fais quotidiennement, je tombe sur ce billet (en anglais) de Darren Hardy, éditeur du magazine Success aux États-Unis. Il me rappelle la règle numéro 1. La télé est l’opium du peuple, elle est non seulement inutile, elle est néfaste. La seule bonne utilisation de la télé est de la débrancher ! L’article de Daren va sensiblement plus loin (dans l’extrème de l’analyse) que mes billets, mais je la partage totalement. Donc faites comme nous, débranchez!

Revenons à la règle numéro 8

Me revoilà en selle pour écrire. Une petite insomnie et ça repart… Quelques nouvelles de mes réseaux:
– APM : que du bon depuis deux mois. D’excellents experts, des thèmes intéressants et des bonne interaction. En bref le réseau qui apporte le plus en terme d’apprentissage utile.
– Toastmasters : je suis devenu Competent Communicator. J’ ai donc franchi les 10 premières étapes. la prochaine sera le Competent Leader. Pour cela, j’ai pris la responsabilité de Vice Président en charge des Relations Publiques. Au programme, nouveau site internet, newsletter et beaucoup de PR.
– Lions Club : j’ai finalement été intronisé au Lions Club de Curepipe. Je remercie Eddy pour son parrainage. Je vais partie de la commission Communication, un bon complément à mes fonctions de VP au Toastmasters club.

Et enfin, parce que même si ce n’est pas lié directement aux réseaux extra professionnels, j’ai changé de fonction et suis désormais en charge des produits Information Worker (Office, Exchange, etc.) pour toute l’Afrique subsaharienne, tout en restant basé à Maurice. Merci à Thomas pour sa confiance et son coup de pouce indéniable.

Si je raconte tout ça, c’est parce que malgré la crise, ou grâce à elle, il existe un grand nombre d’oportunités qu’il faut savoir provoquer et saisir.

Bientôt la règle numéro 9

Fin des vacances…

Elles sont terminées depuis quelques jours et le travail a repris ses droits. Mais les doigts démangent et le blog va retrouver quelques couleurs. Ce qui va donc valoir un premier papier sur la persévérance et la persistance. Alors quelles sont les nouvelles de la crise ? La crise, quelle crise ? Un jour c’est vert, un jour c’est rouge, mais force est de constater que les couleurs reviennent petit à petit. Ceci étant, le raz-de-marée est profond et sourd pour le moment, mais il est là. Les mouvements tectoniques se font sentir, un nouveau monde est en gestation. Comme toute gestation, il faut du temps et ce qui sortira de cette matrice n’est pas connu.

Alors en attendant et parce que je reste un éternel optimiste, je vous souhaite une bonne soirée/journée/semaine, et n’oubliez jamais que votre vie, c’est vous qui en faites ce que vous voulez et vous seul. Alors choisissez d’être heureux ici et maintenant.

A très bientôt, sur ce blog