• Jour 58 – Noir – Day 58 – Black

    blackNoir. On la qualifie de couleur, alors qu’il s’agit en fait de l’absence de couleur. Noir, c’est noir comme le dit la chanson. Le noir, comme le blanc, c’est classe. Toutes les couleurs vont avec le noir, ce qui le rend universel. Cependant, le noir a son côté sombre. On parle de noirceur de l’âme pour mettre en avant le négatif des êtres. Un trou noir n’est en substance pas réjouissant, puisqu’il absorbe toute lumière. Pourtant, sans noir il n’y a pas de blanc, ni de couleurs. Tout est affaire d’équilibre et le noir y joue un rôle.


    Black. We think it’s a colour although it’s an absence of colour. Black is black as the song says. Black is, like white, classy. Every colour goes along with the black, which makes it universal. Though, black as its dark side. We talk of the darkness of the soul, to put forward the negativity in human beings. A black hole is not really funny, since it absorbs all light. But, there is no black without white, not colours. All is a question of balance and black has to play its role.

  • Jour 57 – VitesseDay 57 – Speed

    speedVitesse. Je reste persuadé que la vitesse est un facteur déterminant dans les relations commerciales. Revenir rapidement vers un client est essentiel pour créer la confiance. Réagir rapidement à une plainte est critique pour augmenter la satisfaction. La vitesse fait vendre… plus. Je suis consterné tous les jours par le manque de réactivité de certaines entreprises. On sait depuis longtemps que la prime au premier est bien réel. Le temps de l’action prend le dessus sur celui de la réflexion passée une certaine limite. Grisez-vous, foncez !speedSpeed. I am still convinced that speed is a prime factor in sales relationships. Coming back quickly to a customer is critical to build trust. Reacting swiftly to a complaint is critical to increase satisfaction. Speed sells… more. I am appalled by the lack of reactivity of many companies. We know from a long time that the premium to the first is real. Time for action is above the one for thinking, beyond a certain limit. Get carried away, speed along!

  • Jour 56 – OrteilsDay 56 – Toes

    toesOrteils. Orteils, orteils, peut-on écrire sur les orteils ? Je suis sûr que certains sont fascinés par leurs orteils, mais l’idée m’est venue en pensant à l’expression anglaise, garder quelqu’un sur ses orteils, ou autrement sur la pointe des pieds, qui se traduit souvent par maintenir quelqu’un sur ses gardes. L’idée est que lorsque l’on marche sur la pointe des pieds, l’ensemble des muscles contribuent à se maintenir en équilibre. Cette tension nous force à nous concentrer et à rester conscient de notre environnement. Sans orteils, pas d’équilibre possible !toesToes. Toes, toes, can I really write about toes? I am sure some people are fascinated by their toes, but the idea came to me while thinking about the idiom to keep somebody on their toes. The Cambridge Idioms Dictionary provides the following definition: to force someone to continue giving all their attention and energy to what they are doing. When you stand on your toes, you are forced to maintain all your muscles tensed to keep balance. This tension forces us to concentrate and keep us conscious of our environment. Without toes, no balance is possible!

  • Jour 55 – AmourDay 55 – Love

    loveAmour. On dit souvent que la notion est surannée. A l’époque des sex-friends et des divorces à la pelle, l’amour est-il encore d’actualité ? Il a été démontré que sans amour, un bébé dépérit. D’autre part, un enfant entouré d’amour s’épanouit mieux et plus vite. Comme Rome ou la confiance, l’amour ne se construit pas en un jour, mais se renouvelle sans cesse. C’est un travail de tous les jours, long, parfois fastidieux, répétitif. Comme les gammes ou les arpèges au piano qu’un concertiste va travailler tous les jours pour éblouir son public. L’amour n’est pas un résultat, c’est un chemin sans fin.loveLove. It’s said love is old fashioned. At the current era of sex friends and easy divorce, is love still hot? It has been demonstrated that without love, a baby dies. On the other hand, a child surrounded by love is blossoming. La Rome or trust, love is not built in a day, but keeps changing. It’s an everyday job, sometimes long, tedious and repetitive. Like scales and arpeggios a piano player will do every day to dazzle her public. Love is not a result, it’s a never ending pathway.

  • Jour 54 – ServiceDay 54 – Service

    serviceService. Le service client. Il doit s’agir du service le plus détesté. A l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise. A l’intérieur, car il récupère tous les clients insatisfaits et certains peuvent se montrer pénibles et grossiers. A l’extérieur, car les clients pensent qu’il s’agit d’un simple centre d’appel sans intérêt pour le client. Dans les deux cas, il s’agit d’une erreur monumentale (ou pas). Un client insatisfait est un prospect, à l’employé de le transformer en acheteur. Un client insatisfait doit être retourné et surpris, afin que son point de vue change se achète de nouveau. En bref, le service client fait ou détruit une marque. Qu’en-est-il du vôtre ?serviceService. Customer service! It should be the most hated department. Inside and outside of the company. Inside, car all dissatisfied customers ends here and some can be painful and rude. Outside because customers think it’s just a call center with no interest in customers. In both cases, it’s a big mistake (or not). A dissatisfied customer is a prospect. It’s the employee’s duty to transform it into buyer. A dissatisfied customer needs to be turned into a happy customer so he or she purchases again. Customer service makes a breaks a brand. What about yours?

  • Jour 53 – Gentillesse – Day 53 – Kindness

    Gentillesse. Gentillesse n’est pas faiblesse. Tout comme un sourire, la gentillesse ne coûte rien mais elle peut rapporter beaucoup. Etre gentil c’est prendre en compte l’autre, lui signifier qu’il est important et simplement lui sourire. Dans une entreprise de service, la gentillesse fait toute la différence. On peut argumenter qu’elle peut parfois être factice, mais elle est contagieuse. Comme tous les sentiments positifs, la gentillesse construit une relation. Elle l’améliore, elle la rend plus souple et ouverte. La gentillesse est un choix, faites-le !Kindness.


    Kindness is not weakness. Like a smile, kindness costs nothing but can bring back a lot. Being kind is taking in consideration the other, showing her she’s important and simply smiling at her. In a service company, kindness makes all the difference. Sometimes, it may be artificial but it is for sure contagious. Like all positive feelings, kindness builds relationship. It enhances it and make it more open. Kindness is a choice, make it!

  • Jour 52 – SouvenirsDay 52 – Memories

    souvenirSouvenirs. Il ne reste qu’eux quand tout est fini. Là, tout au fond de la tête de chacun, enchevêtrés au milieu de millions de neurones et de synapses. Des voix, des images, des odeurs, des bulles de champagne, un repas, une ballade aux milieux de vieux murs… Et puis, ce vide que ces souvenirs peinent à combler, avec lequel il faut continuer à avancer. Car la vie c’est ça : une porte d’entrée et une porte de sortie, et de millions de souvenirs fugaces. La mémoire est sélective, elle ne garde que le meilleur et l’embellit, et tout souvenir crée un sourire. Pour Gérard. Tu resteras toujours dans nos coeurs et nos mémoires.souvenirMemories. They remain when all is over. There, in the deep of our head, in the middle of millions of neurones and synapses. Voices, images, smells, champagne bubbles, meals, a walk along old buildings… And then, this vacuum that memories have difficulties to fill, with which you need to continue moving forward. Because this is life: an access door, an exit door and millions of fleeting souvenirs. Memory is selective and only keeps the best while making it better. Every memory draws a smile. For Gérard. RIP.

  • Jour 51 – Victoire – Day 51 – Victory

    VictoryVictoire. Quelle que soit la bataille, la victoire est toujours appréciable. Oh, elle n’arrive pas tout le temps. Elle peut être amère. Qui dit victoire, dit aussi défaite, particulièrement quand il y a un ennemi. La victoire se savoure derrière une porte clause pour ne pas humilier l’adversaire. Mais la victoire est souvent l’œuvre de quelques-uns, qui ont cru en elle, en dépit de l’adversité et des difficultés. Et au final, les plus belles des victoires sont celles que l’on remporte contre soi-même.


    Victory. Whatever the battle, victory is always considerable. It does not happen all the time. It can be bitter. He who says victory, says also defeat, particularly when there is an enemy. Victory has to be savoured behind closed doors not to humiliate the opponent. But victory is often the results of some, who believed in it, despite adversity and challenges. Finally, the most glorious victories are those we win again oneself!

  • Jour 50 – Simplicité – Day 50 – Simplicity

    simplicitySimplicité. Dans Terre des Hommes, Antoine de St Exupéry écrit : « Il semble que la perfection soit atteinte non quand il n’y a plus rien à ajouter, mais quand il n’y a plus rien à retrancher. » Il est en est pour moi de même de la simplicité. Un objet dessiné par Philippe Starck par exemple est toujours simple dans son trait. Qu’on l’aime ou pas, on est frappé par sa relative simplicité. La simplicité est incroyablement difficile ! Faire simple est compliqué. Mais quelle beauté dans la simplicité. La simplicité est l’ultime luxe.


    Simplicity. In Terre des Hommes, Antoine de St Exupery wrote : « It seems we know we have achieved perfection not when there is nothing left to add, but when there is nothing left to take away.” I feel like this with simplicity. An object designed by Philippe Starck for instance is always simple in his shape. That we like it or not, its simplicity is striking. Simplicity is incredibly difficult! Making simple things is complex. There is such beauty in simplicity. Simplicity is the ultimate luxury.

  • Jour 49 – Larmes — Day 49 – Tears

    larmeLarmes. Un homme, ça ne pleure pas ! ET pourquoi pas ? Parce qu’un homme ça n’a pas de sentiments, ça ne ressent pas la douleur ? Voilà une conception de l’être humain réductrice. Si les larmes existent, c’est qu’elles ont un rôle. Il est des circonstances où pleurer fait du bien, est nécessaire. Le lâcher-prise, c’est aussi pouvoir exprimer sa douleur en versant des larmes, en laissant le corps évacuer la douleur grâce à ces petites gouttes de liquide lacrymal. La vie réserve parfois de mauvaises surprises, il faut laisser échapper la douleur et continuer à avancer.

     

    Tears. A man does not cry! Why not? Because a man does not have feelings, does not feel pain? This is a simplistic view of men. If tears exist, it’s because they play a role. There are circumstances during which crying is good, is necessary. Letting things go is being able to express pain by crying, by letting the body evacuating pain thanks to these little lachrymal drops. Life sometimes reserves bad surprises, and letting pain go and moving forward is necessary.