• Jour 127 – Accélérer

    accélérerAccélérer. L’accélération est associée généralement à une sensation de vitesse. On la ressent dans une voiture ou sur une moto puissante, ainsi que sur certaines attractions foraines. C’est cette accélération que recherchent les personnes en mal de sensations fortes. Dans le monde professionnel, il est parfois nécessaire d’accélérer aussi, de passer à la vitesse supérieure. Cela peut-être un projet qui traîne en longueur et qu’il convient de terminer au plus vite, ou une vente qu’il faut conclure. Les « experts » vous diront que si vous voulez accroître la vitesse, il vous faut des moyens supplémentaires. En fait, le seul moyen dont vous avez besoin est votre propre énergie ! Accélérez nécessite tout d’abord une décision, puis l’adhésion de votre équipe et enfin l’exécution ! Rien ne sert de courir il faut partir à point dit le fabuliste. Certes, mais parti à point, l’accélération donne le coup de pouce qui fait la différence ! Et puis, c’est bon !

  • Jour 126 – Ras-le-bol

    bolRas-le-bol. Il est des jours où on en a ras la casquette. Où rien ne semble nous réussir. Où l’avenir semble bouché ! Non, je ne décris pas la vie de François H., bien que, mais celle de tout un chacun, moi y compris. Ben oui, ça arrive à tout le monde. Et c’est le moment où il est primordial de s’appuyer sur ses succès passé et sur son journal si on en tient un. Car après la pluie le beau temps. Ce n’est pas parce que le ras-le-bol vous envahi que tout est fini. C’est déjà arrivé et ça arrivera encore. Alors ouvrez votre journal, couchez ce que vous ressentez, lâchez-vous puis repassez sur tout ce qui vous est arrivé de bien ces 12 ou 24 derniers mois. Et puis, pour finir, allez faire un tour ! Rien ne vaut de raccrocher son manteau et de se changer les idées. Rien de bien fâcheux, c’est la vie et elle est belle !

  • Jour 125 – Maintenant

    NowMaintenant. J’ai déjà écrit sur le présent et sur le fait qu’il n’existait que le présent, le passé étant derrière et le futur n’étant pas encore arrivé. Maintenant est donc la seule existence. Pourtant que de choses remises à plus tard. Pourquoi ne pas les faire maintenant ? Il existe souvent de bonnes raisons, mais la plupart du temps, elles sont imaginaires et forment des excuses à notre inaction. Si vous devez faire quelque chose, posez-vous la question de le faire maintenant. Si vous êtes dans l’impossibilité de le faire immédiatement, planifiez-la ultérieurement mais sans que cette action puisse être reportée à plus tard. En règle générale, vous constaterez que tout peut être fait maintenant, c’est juste une décision à prendre !

  • Jour 124 – Etoile

    etoilesEtoile. Pas l’étoile au sens astronomique du terme. Juste ce point scintillant dans la nuit. Malheureusement la pollution lumineuse nous en masque toujours plus. Elles sont là, mais on le voit plus. Pourtant, au milieu de l’océan, d’un désert ou tout simplement loin d’une grande ville, le spectacle des étoiles dans le ciel est tout bonnement fascinant. La vision de la voie lactée est à couper le souffle. Et celle de la couleur de ces points brillants trouve tout son éclat : oui Mars (qui est une planète soit dit en passant) est bien rouge, cela se voit à l’œil nu. Et puis les étoiles filantes (qui ne sont pas plus des étoiles que Mars d’ailleurs), l’éphémère au service de l’imaginaire ! Trouvez-vous un endroit hors de toute lumière, couchez-vous sur le dos et laissez-vous bercer par ce spectacle fantastique de la voûte étoilée !

  • Jour 123 – Travail

    travailTravail. Le travail c’est la santé, dit-on. Demandez à tout chômeur, il vous dira vraiment ce que représente le travail. Il est dit que l’on se réalise au travers de son travail. Peut-être. Je reste cependant fidèle à cette maxime que l’on attribue à Confucius : « Choisi un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler de toute ta vie ». Même le plus pénible des travails est noble et peut être fait avec amour. Je pense que c’est l’effort qui permet de se réaliser, au travers du dépassement personnel. Certes je parlais des vacances avec ce bonheur de l’absence de mesure du temps, mais le travail est positif. Tout est question de point de vue, à tout un chacun de choisir !

  • Jour 122 – Lagon

    lagon-sudLagon. On a tous en tête des images de lagons, étendues d’eau ponctuées de bleus et de verts intenses, et de cette ligne blanche que forment les vagues de la barrière de corail. La barrière protège le lagon de la puissance de l’océan et offre un spectacle extraordinaire des vagues qui se lèvent et s’écrasent en une écume blanche. Le lagon offre ainsi une aire de jeu extraordinaire aux sports nautiques, à la pêche et aux diverses activités marines. Pourtant les lagons sont fragiles et exposés aux activités humaines. Héritage de millions d’années d’activités volcaniques, les lagons sont tout simplement magiques. Profitons-en tout en les préservant !

  • Jour 121 – Kitesurf

    kiteKitesurf. Voilà un sport jeune, moins d’une vingtaine d’années et qui ne cesse d’évoluer. En sécurité et en performance. Généralement le kitesurfeur inspire le respect et l’admiration. Permettez-moi de tuer le mythe : il s’agit d’un des sports nautiques les plus rapides et les plus faciles à apprendre ! Il convient juste d’être prêt à avaler un peu d’eau et à vaincre quelques peurs. Une fois ces maigres obstacles franchis, quel bonheur de glisser sur l’eau tracté par un cerf-volant, prêt à exploiter la troisième dimension en nous envolant quand bon nous semble. Le kitesurf, un sport écolo qui se pratique de 10 à 77 ans, en toute sécurité. Essayez !

  • Jour 120 – Vacances

    vacanceVacances. Ça commence avec l’absence de réveil. Et oui, la grasse matinée, même si elle dure jusqu’à 6h30 – peut-on appeler ça une grasse matinée me direz-vous ? –, est le premier signe des vacances. Pas d’école, ni de bureau, encore moins d’obligations, sauf bien sûr si vous avez inscrit vos chérubins à l’école de voile et devez y être à 7h30… Ah les joies du mini-club ! Les vacances, dis-je, commencent avec cette absence de mesure du temps. Car la mesure du temps rythme nos vies professionnelles, mais Dieu que c’est bon de se lever quand on veut, de manger quand on veut et de faire ce qu’on veut. Un luxe que vous offre la vie moderne…

  • Jour 119 – Confiance

    confianceConfiance. Hollande et Valls répètent à qui veut bien les entendre de leur faire confiance. Mais la confiance cela se mérite sur des résultats, pas sur des paroles. Je crois que cette confiance est branlante si pas absente. On s’arrange entre amis, avec les députés de la majorité (que le pouvoir a perdu depuis longtemps d’ailleurs, la majorité s’entend), mais la rupture avec le peuple est consommée. Il faut des actes (et surtout des résultats) et pas des paroles. Cela fait deux ans qu’on a des paroles et des résultats négatifs en France. En plus, quand un investisseur comme GE propose d’apporter quelques milliards d’argent frais pour sauver Alstom, on lui fait comprendre qu’on n’en veut pas de son argent. Il en va de l’indépendance nationale, monsieur ! Quelle ironie dans un monde globalisé ! La France s’est bien choisie le coq comme emblème national, le seul oiseau qui chante avec les pieds dans la merde. Bon courage à tous mes compatriotes ! Bonjour d’un Français de l’étranger !

  • Jour 118 – Stop

    stopStop. S’arrêter, ou plutôt arrêter une attitude ou une action néfaste, comme par exemple fumer. Pas simple ? Tout est question de point de vue. Evidemment tout le monde vous dira que s’arrêter de fumer est question de volonté (remplacer fumer par n’importe quel autre chose que vous souhaitez arrêter : boire, avoir peur en avion, etc…) ! En fait, oui, mais pas que. Il convient juste de comprendre qu’il y a infiniment plus de personnes qui se trouvent dans l’autre camp. Par exemple, il y a plus de non-fumeurs que de fumeurs. Les non-fumeurs sont-ils plus stressés que les fumeurs, ne prennent-ils pas du plaisir sans avoir besoin d’une dose de nicotine ? Tout tend à prouver le contraire. En fait, comme je le disais, il s’agit d’une question de point de vue : on n’arrête pas de fumer, on commence à ne plus fumer ! On ne quitte pas le monde des fumeurs, on rejoint celui des non-fumeurs. Essayez, ça ne coûte rien et ça a de fortes chances de marcher.