• Jour 136 – Croissance

    croissanceCroissance. Au moment où l’INSEE publie les chiffres de la croissance en France, lui distribuant un massif bonnet d’âne, se pose la question de la croissance. En fait, la question ne se pose pas, ou si elle se pose, c’est parce qu’elle n’est pas comprise. La vie, intrinsèquement, est croissance. Pour l’homme en taille pendant l’enfance et l’adolescence, puis en compétences et en sagesse. Les familles croissent, les états croissent. Il suffit de se promener dans la nature pour voir que tout est fait pour la croissance. Notre rôle n’est pas de la nier, mais de la gérer, de l’accompagner. La décroissance est un jeu de fou. Dans toute action, posez-vous la question de la croissance. Sans croissance, pas d’évolution !

  • Jour 135 – Pollution

    WP_20140514_09_22_12_Pro (640x360)Pollution. Le réchauffement de la planète est la conséquence de notre activité, c’est la fameuse pollution atmosphérique, de plus en plus visible dans certaines villes. L’autre pollution visible est celle provoquée par les détritus que nous laissons derrière nous. Nous en stockons, en brulons ou en recyclons beaucoup, mais nous en jetons aussi des tonnes dans la nature. S’il est désagréable de trouver des décharges sauvages en pleine nature, il l’est aussi de constater ce qui est rejeter à la mer par les cours d’eau. Le septième continent, formé des milliards de tonnes d’objets en plastique rejetés à la mer, est bien réel et est une menace pour la survie de nos océans, et donc pour la nôtre. Le plastique fut un progrès, c’est aujourd’hui un boulet dont on ne se séparera pas simplement. Pourtant un tout petit effort de la part de chacun arrangerait considérablement la situation : juste utiliser les poubelles prévues à cet effet !

  • Jour 134 – Costume

    costumeCostume. Celui qui l’on porte pour aller au bureau, pas celui qui l’on endosse pour jouer la comédie. Il en existe des centaines de variations, croisé, droit, deux boutons, trois boutons… Au gré de la mode les coupes changent, d’ailleurs en ce moment, on est plutôt année 50. Les couleurs, les tissus offrent une infinie variété. On dit que le costume fait l’homme. Il est certain que l’élégance peut en imposer, quand elle est de bon aloi. Mais elle ne fait pas tout… malheureusement ! Choisissez toujours la qualité, elle se voit et vous catalogue. La mesure voire la demi-mesure révèle l’esthète et l’homme de goût. Certes elle a un coût, mais elle se révèle souvent un excellent investissement. Sortez du lot, le costume fait définitivement l’homme !

  • Jour 133 – Vague

    vagueVague. Depuis quelques jours, je tourne autour de la mer. Les vagues m’ont toujours fasciné. D’abord par leur beauté sauvage, cette masse d’eau qui avance inexorablement, puis finit par se « casser », déferler. Par leur puissance, ces tonnes d’eau qui peuvent briser des bateaux comme des fétus de paille. Par leur forme, il n’y a pas une vague, mais des vagues, depuis la houle océanique jusqu’au clapot en passant par les vagues scélérates et les tsunamis, les vagues coralliennes et les mascarets. La vague inspire le poète, fascine l’homme, propose un éphémère terrain de jeu au surfeur et n’en finit pas de changer. Elle va même jusqu’à donner son nom à des mouvements humain, comme une vague de mécontentement ou un raz-de-marée électoral, voire des sentiments, comme le vague à l’âme. La vague, un mouvement qui ne finit jamais.

  • Jour 132 – Nuit

    nuitNuit. La nuit tous les chats sont gris dit-on. Sous-entendu, la nuit on ne vous voit pas. S’il est vrai que certains méfaits sont commis la nuit. La nuit inspire, la nuit nourrit les fantasmes. Privé de la vision, l’homme imagine le pire la nuit. Une ombre, un bruit se transforment en monstre sans trop d’imagination. C’est pour moi un moment calme. Les éléments se calment, les étoiles deviennent visibles et le silence s’installe. Il y a de la magie dans cette alternance de jour et de nuit. Crépuscule et aube se succèdent, dans un ballet infini à notre échelle humaine. Cette absence de lumière nous fascine et nous apeure. La nuit, nous retrouvons notre place, tout petit dans l’immensité de l’univers.

  • Jour 131 – Obsession

    obsessionObsession. Le problème avec l’obsession c’est qu’elle est vue par la médecine comme un symptome fréquemment associé à des compulsions. On parle d’obsédé sexuel par exemple. Si je ne nie pas, au contraire, cette définition somme toute négative de l’obsession, j’y vois aussi un phénomène positif. Etre obsédé par quelque chose, tout en le sachant, en l’acceptant, voire en le cultivant, nous permet de nous focaliser, de devenir « excellent ». Michel-Ange était obsédé par le beau, Einstein par la relativité, Mozart par sa musique, etc. Ce furent tous des génies dans leur domaine respectif. La question est donc d’utiliser son obsession pour en faire son art, son domaine d’excellence. L’obsession devient alors une force qui transforme la sueur en génie.

  • Jour 130 – Santé

    santeSanté. Un collègue me faisait remarquer il y a quelques jours que j’avais l’air en pleine santé. Certes la photo, à partir de laquelle il faisait cette remarque, était prise juste après mes vacances. Mais je pense, qu’en dehors de pépins indépendant de la volonté de chacun (et je compatis avec tous les malades), la santé est un choix. Tout le monde sait comment être en bonne santé : faire du sport quotidiennement, faire attention à son alimentation, ne pas abuser de l’alcool, ne pas fumer, dormir son lot d’heures, etc. Pour ma part, je pense que le sport joue un rôle essentiel à mon équilibre et à ma « santé ». La santé est donc une conséquence d’un mode de vie, mais est surtout et avant tout un choix ! On n’a qu’une vie, autant prendre soin de nous !

  • Jour 129 – Frustration

    frustrationFrustration. Vous savez, ce sentiment qui vous tire vers le bas quand vous avez l’impression de tourner en rond, de ne pas arriver à terminer quelque chose, ou de ne pas être reconnu pour le travail accompli… La frustration est le sentiment le plus inutile en un sens et le plus utile dans un autre. Abscond ? Inutile : c’est un sentiment négatif qui vous empêche d’avancer, il convient donc de vous en débarrasser au plus vite. Utile : il vous rappelle que 1. Ce que vous faites, vous le faites pour vous et que ce sont vos efforts qui importent, 2. Vous n’êtes sans doute pas allez assez loin, n’avez pas fait assez de bruit, n’avez pas délivré suffisamment de valeur, en gros n’avez pas exactement fait ce que vous auriez du faire. Dur à ressentir et à entendre ? Certainement, mais rappelez-vous, ce n’est qu’en se remettant en question que l’on progresse !

  • Jour 128 – Journal

    journalJournal. Non, pas celui que vous lisez le matin (si vous lisez encore la presse… personnellement j’adore la lire en vacances), mais celui que l’on tient, religieusement. Alors, oui, on pense journal intime sur le papier duquel on couche ses peines et joies de cœur, mais dans le cadre de son propre développement personnel et professionnel, il s’agit d’un élément critique. Pas besoin d’y passer des heures, pour ma part, cela prend rarement plus de cinq minutes. Je m’emploie à lister les trois choses que j’ai réussies et les trois que j’ai échouées ou dont je suis insatisfait, avec la solution simple qui permettra de transformer l’échec en réussite. Pour cela, j’ai un petit calendrier Moleskine vert (la couleur de l’espoir), un jour, une page, six points (parfois plus, il ne faut pas être rigide), cela fait plus de mille réussites par an et milles choses à améliorer, et qui deviennent des réussites ! Un fantastique réservoir à bonheur !

  • La crise, quelle crise ? est sur Tumblr

    Après Facebook, Twitter et LinkedIn, je vais reposter mes billets sur Tumblr: http://lacrisequellecrise.tumblr.com/. La crise, quelle crise ? s’étend ! Et oui, la croissance, il n’y a que cela de vrai !

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