Obsession. Le problème avec l’obsession c’est qu’elle est vue par la médecine comme un symptome fréquemment associé à des compulsions. On parle d’obsédé sexuel par exemple. Si je ne nie pas, au contraire, cette définition somme toute négative de l’obsession, j’y vois aussi un phénomène positif. Etre obsédé par quelque chose, tout en le sachant, en l’acceptant, voire en le cultivant, nous permet de nous focaliser, de devenir « excellent ». Michel-Ange était obsédé par le beau, Einstein par la relativité, Mozart par sa musique, etc. Ce furent tous des génies dans leur domaine respectif. La question est donc d’utiliser son obsession pour en faire son art, son domaine d’excellence. L’obsession devient alors une force qui transforme la sueur en génie.
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