Catégorie : Idées

  • Jour 207 – Détails

    artRAVEDétails. Le diable s’y cacherait ! Pourtant, ce sont à ces détails que l’on reconnait le grand professionnel. Hier soir, nous avons eu le droit à un concert de Lady Gaga. Que l’on soit ou non fan de son style de musique, il est trois choses qui crèvent les yeux : 1. ce n’est pas un concert, c’est un show, très travaillé. 2. C’est une artiste incroyablement douée qui pousse le spectacle au maximum. 3. C’est une chanteuse avec une voix impeccable, doublée d’une musicienne talentueuse.

    Ce ne sont pas ses excentricités qui l’ont menées où elle est, c’est son sens du détail. Le show d’hier, appelée #artRAVE, est une hallucination musicale orchestrée au millimètre. La question est comment faire pour arriver à son niveau ? Travailler dur et rester ferme avec sa vision !

  • Jour 206 – Sourire

    sourireSourire. C’est cette banane que j’ai au visage quand je cours les matins de cette semaine à Atlanta, vers et depuis le Piedmont Park. Non seulement parce que le quartier que je traverse est charmant, mais qu’en plus il fait bon.

    Même à 5h30, je croise d’autres coureurs qui, comme moi, ont sans doute besoin de leur injection de dopamine et d’endorphine, et qui se disciplinent pour se lever de bonne heure. Ces hormones jouent sans doute un rôle important dans ce sourire matinal.

    Oh, ce n’est pas facile tous les jours et un peu de coup-d’pied-au-cul thérapie est parfois nécessaire pour sortir de la couette, mais une fois parti, la récompense est vite là. Chaque seconde de la vie peut amener un sourire, car la vie c’est avant tout ça : un immense sourire !

  • Jour 205 – En avant !

    en avantEn avant ! Ce pourrait être l’ordre donné à des troupes, c’est avant tout le seul sens possible ! Impossible de revenir en arrière (dans le temps), on avance, on avance, comme chantait Souchon.

    Parfois on peut penser que l’on avance vers sa perte, alors que nous avons un certain contrôle, pour ne pas dire un contrôle certain, sur les événements. Rien n’est fatal ! Comme le disait Churchill : le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal, l’important est le courage de continuer !

    Comme je me plais à le répéter, on doit apprendre de ses erreurs, de son passé pour construire un meilleur futur maintenant ! Garder de l’amertume, de la colère, ne fait que nous retenir d’avancer plus vite, plus haut, plus fort !

  • Jour 204 – Think BIG, start small !

    bigThink BIG, start Small. La bonne maxime de tout créateur d’entreprise sans de capital de départ. Mais cela peut s’appliquer à beaucoup de chose dans la vie. Pourquoi avoir des rêves étriqués et s’imposer des limites quand on peut voir les choses en grand.

    Le problème avec le grand, c’est que si on dimensionne mal au départ et voyons trop grand trop vite, le capital vient rapidement à manquer et c’est la faillite garantie. Il est, de loin, préférable de commencer petit, de valider les hypothèses au départ, mais surtout, surtout de gagner de l’argent, avant de s’agrandir.

    Mais, il est surtout primordial de penser dès le départ à l’expansion, de l’avoir en ligne de mire. A quoi bon limiter votre génie et votre excellente exécution à un petit cercle de client. Le monde est vaste, que faites-vous pour le conquérir ?

  • Jour 203 – Propreté

    métroPropreté. J’étais dans le métro ce matin à Atlanta et la première chose qui m’a surprise est sa propreté. Après des années à Paris, prendre le métro parisien est une épreuve, olfactive, visuelle, auditive, sociologique et psychologique. Ici, nous sommes à l’opposé, et plutôt du bon côté. Certainement, un équilibre entre prévention et répression. Bien que ce second point ne soit pas visible, les affiches du code de conduite dans le métro sont partout.

    Le résultat ? Un métro propre, sans mendiant ou pickpocket, sans musicien ambulant qui casse les oreilles des passagers. On peut dire que l’Amérique cache ses pauvres, sans doute, j’y reviendrai peut-être, car j’en ai croisé ce matin pendant mon jogging quotidien. En tout cas, prendre le métro s’apparente ici, comme à Singapour par exemple, à une expérience plaisante.

    Pour terminer, la propreté n’est pas limitée au métro, mais partout dans les rues, jusqu’à ses propriétaires de chiens qui ramassent les déjections de leurs amis à quatre pattes. Les grandes villes de France ont du chemin à faire, mais c’est possible, il suffit juste de volonté. La question : est-elle là ?