• Jour 288 – Macholand

    machoMacholand. Faisons cesser le sexisme, c’est le manifeste du site Macholand.fr. On ne veut plus Un président, mais Un(e) président(e), comme on voit Un(e) secrétair(e). Si l’intention est évidemment louable, afin de mettre un terme à toute forme de discrimination, nous allons à l’aune de l’égalité des genres, voir fleurir les parenthèses féminisantes. Déjà que beaucoup de Français ne savent pas lire, ça ne va pas améliorer les choses… Mais bon, il parait que c’est cela le progrès.

    Et pourquoi ne pas revoir la grammaire et l’orthographe de fond en comble pour inventer un genre neutre. Un peu comme le « it » anglais. Bon je sais, it désigne les choses, pas les êtres. Mais d’un autre côté, les anglophones ont partiellement résolu le problème du genre avec des articles neutres : a, the…

    Alors, évidemment, comme je l’avais exprimé lors du lancement de la campagne de l’ONU #HeForShe, on ne peut être que contre toute forme de discrimination, y compris contre la gente féminine. Il faut se battre tout le temps partout pour l’égalité totale et entière entre les hommes et les femmes. Je ne suis pas certain cependant qu’ajouter des petites parenthèses féminisantes partout aura l’effet escompté. Les emplâtres ne réduisent pas les fractures. N’oublions jamais que la femme est l’avenir de l’homme !

  • Pensée de la semaine

    Always being in a hurry does not prevent death, neither does going slowly prevent living. ~ Igbo proverb (people from Nigeria)


    Être toujours pressé n’empêche pas de mourir, pas plus qu’aller lentement n’empêche de vivre ~ Proverbeigbo (peuple du Nigéria) 

  • Jour 287 – Retard

    retardRetard. Je suis comme le lapin d’Alice, courant partout, ma montre à gousset à la main. J’avoue, je suis en retard. On ne va pas en faire un plat, mais j’avoue ! Pas d’excuses, juste du retard. Certes, il est toujours préférable de prévenir avant du retard. Ne serait-ce que par politesse, mais surtout que parfois il y a une solution que l’on n’avait pas vue et qui va résoudre, voire annuler, le problème potentiel engendré par ce retard.

    Alors parfois, je suis en retard d’un jour ou deux pour mettre à jour le blog. Shame on me ! J’avoue ! Mais je le fais… et je rattrape mon retard. Parce qu’au final, le retard, c’est comme la dette, ça s’accumule et ça vous tire en arrière. Alors, de temps en temps, il faut relever les manches et mettre un coup d’accélérateur pour rattraper le retard. Le bonheur ne tient parfois qu’à un fil !

  • Jour 286 – Ebola

    ebolaEbola. Je sais, on ne parle que de ça en ce moment. Et j’en rajoute une couche. Mais que l’on ne se plaigne pas. Cela fait plusieurs années que l’on met en place les outils pour diffuser les nouvelles, quelles qu’elles soient, à la vitesse de la lumière : internet ! Ce qui sert à nous affoler peut aussi servir à nous enchanter.

    Ce qui est utilisé pour faire parler dans les chaumières est aussi utilisé pour faire réfléchir et pour développer des entreprises. Cela prouve que le monde n’a jamais été aussi plat et que toutes les opportunités sont ouvertes à tous ! Alors Ebola est la face cachée mise au jour des fantastiques opportunités qui existent dans le monde, en souhaitant ardemment que cette épidémie trouve un terme rapide.

  • Jour 285 – La loi de l’attraction

    attractionLa loi de l’attraction. La dite loi est une bonne antienne du monde du développement personnel. Elle est apparue il y a plus d’un siècle au travers des écrits d’Américains, comme le fameux Napoleon Hill, réfléchissez et devenez riche. En gros et en caricaturant un peu, elle se résume à « ce que vous pensez finit par se manifester dans la réalité ».

    Donc, si je pense assez fort que je vais gagner au loto, je vais finir par gagner. Et si je ne gagne pas, c’est que ma pensée a été polluée par des doutes. Si cela peut sembler puéril et faire sourire la plupart des esprits critiques, mais en fait, comme on y réfléchit sous un angle légèrement différent, on s’aperçoit que la loi de l’attraction est en fait celle de la passion et de la décision. Autrement dit, et comme le disaient (et le disent toujours) mes parents : « qui veut peut ». Alors, prêt à réaliser vos ambitions ?

  • Jour 284 – Image

    imageImage. L’image a pris le pas sur l’écrit. Entre Facebook, Twitter, Youtube, Pinterest et consort, l’image règne en maitre. Et c’est sans compter sur la télévision qui trône dans le salon de quasiment tout un chacun et a pris le pas sur toutes les autres distractions. Une image vaut mille mots. Si elle est animée, elle en vaut deux milles.

    En soi, l’image n’est ni bonne, ni mauvaise. Le photographe, le peintre ou le réalisateur s’expriment au travers de l’image. On dénigre parfois l’image comme n’ayant pas la part d’imaginaire que l’écrit véhicule. En fait, tout dépend de sa qualité. Une image peut engendrer l’émotion, un texte aussi, ou pas. On en revient toujours à l’objectif ultime de la production et à la question de l’élévation de l’esprit. Distraction ou réflexion ? De plus en plus de la première, de moins en moins de la seconde.

  • Pensée du week-end

    Do not forget what is to be a sailor because of being a captain yourself. ~ Tanzanian proverb


    N’oubliez jamais ce qu’est être matelot quand vous devenez capitaine. ~Proverbe tanzanien

  • Jour 283 – Vendredi

    smileyVendredi. Pas le copain de Robinson Crusoé, le jour de la semaine. Vous avez remarqué que l’humeur est joyeuse le vendredi et tristounette le lundi. Ben oui, le vendredi c’est le dernier jour avant le week-end, alors que le lundi c’est le premier de la semaine.

    Et bien, si on changeait tout ? Être heureux le lundi car c’est le début d’une nouvelle semaine pleine de promesses et encore heureux le vendredi car on va passer un super week-end. En fait, si on faisait le pari du bonheur TOUS LES JOURS ?

  • Jour 282 – Au-delà

    au-delàAu-delà. Pas l’au-delà au sens de vie après la mort (c’est un sujet en soi, dont personne n’est sûr puisque personne n’est jamais revenu d’un voyage dans l’au-delà), mais au-delà de ce que l’on pensait être une limite. Tout le monde a des limites. Il est inhérent à la croissance de l’humanité et à la nôtre de les repousser.

    Un peu comme le Monsieur Plus d’une publicité d’il y a quelques années. Un peu plus loin, un peu plus haut, un peu plus fort. Passer au-delà. Au-delà de ses peurs, au-delà de son imagination. Tant que l’on ne va pas au-delà, on ne progresse pas. On ne repousse sa zone de confort. Et comme le m’a appris mon père : qui n’avance pas recule ! La prochaine fois que vous faites quelque chose, demandez-vous si vous êtes allé au-delà… même de quelques millimètres. Une victoire après l’autre !

  • Jour 281 – BS

    foutage de gueuleLes anglo-saxons utilisent ces deux lettres pour désigner un gros mot : bullshit. En français dans le texte, merde de taureau, c’est-à-dire, dans notre jargon, du foutage de gueule… Bon stop pour les grossièretés, et place à ce qui se cache derrière cette réalité. Dans la plupart des cas, j’ai ma théorie toute simple : quand quelqu’un vous sert du BS, c’est qu’en fait certaines actions n’ont pas été faites et qu’il est parfaitement simple de raconter une histoire pour maquiller l’inaction.

    Prenons un exemple. Si je demande pourquoi mon fils n’a eu que six sur vingt en math, il va me raconter toute sorte de chose, comme quoi les exercices portaient sur une partie du cours qu’il n’avait pas vu en classe, que la prof ne l’aime pas ou que son stylo n’écrit pas bien… Tout ça, c’est du BS. La vraie raison ? Il n’a pas révisé, il n’a pas mis en œuvre les actions nécessaires à sa réussite. On peut chercher des circonstances atténuantes, mais au final, la vérité est le manque de révision et rien d’autres.

    Dans le monde professionnel, il en est de même. Le BS règne même en maitre dans l’entreprise. Il existe des maitres ès BS. Le seul moyen de tuer le BS, en revenir aux faits, rien que les faits, vérifiables ! C’est parfois long et complexe, avec de nombreux obstacles, mais la vérité finit toujours par triompher.