Catégorie : Idées

  • Jour 158 – Vin

    chateau latourVin. Le nectar des dieux ! Voici une manifestation de la beauté de la nature et du génie humain. Le vin, on peut penser que ce sont quelques grappes de raisins, cueillies à maturité, pressées et fermentées. Cependant, quand on a goûté un Château Latour d’une grande année, on se dit qu’il y a autre chose. Car si le vin, c’est au fond de la chimie, c’en est une fine, un mélange de terroir, d’amour et savoir-faire. Le plaisir du vin commence avec l’étiquette. Il continue avec la plaisir de découper la capsule-congé, celle qui atteste, en France, du paiement des droits sur les alcools, puis de déboucher la bouteille (un bouchon à vis sur du vin est une aberration purement mercantile). Les premiers arômes s’échappent. Le bouchon de liège est l’introduction de la qualité du vin. Puis vient les premières gouttent dans le verre à dégustation ou le tastevin. La couleur, le nez, le goût et tout s’envole ! A consommer avec modération !

  • Jour 157 – Jour J

    jour jJour J. Le 6 juin 1944 fut le jour J, le fameux D-Day. C’est marrant comme on dit le jour J et l’heure H, mais pas le mois M ou la semaine S. Ceci car essentiellement le mois ou la semaine ne sont pas assez précis, alors que le jour voire l’heure ont la précision nécessaire au début de l’action. Car si l’expression jour J est restée, elle fait implicitement référence au 6 juin 1944, qui restera, pour toujours on le souhaite, le plus grand débarquement militaire de tous les temps. Et donc, cette expression fait référence maintenant à un événement de grande ampleur : le lancement d’un produit, le début d’une opération marketing, par exemple. Rarement expression a été aussi simple à retenir et tomber dans le français courant. Il n’y a pas de hasard, juste le résultat d’une ou plusieurs actions et, ce 6 juin 1944, l’action fut gigantesque, suffisante pour que l’on se rappelle et continue à utiliser jour J !

  • Jour 156 – SaaS

    saasSaaS. Software as a Service. En gros, j’utilise ce dont j’ai besoin et juste ce dont j’ai besoin quand j’en ai besoin. Concept qui vient de la nuit des temps, car en fait, l’architecture des mainframes étaient organisée pour servir les utilisateurs en fonction de leurs besoins depuis des terminaux plus ou moins passifs. Tout le monde s’extasie aujourd’hui devant le cloud et le SaaS. Comment faire du neuf avec du vieux. Vous me direz, tout est éternel recommencement. Ce qui différencie le SaaS d’aujourd’hui de celui d’hier, c’est l’échelle et l’accès. L’échelle car on parle maintenant de millions d’utilisateurs simultanés accédant à de gigantesques centre de données. L’accès car il se fait de façon transparente depuis divers terminaux, PC, Mac, tablette, téléphone, smart TV, objets connectés, etc. La question n’est plus SaaS ou pas. La question est quand !

  • Jour 155 – Visioconférence

    visioconferenceVisioconférence. Voilà une KOLOSSALE avancée technologique. Parler et voir son interlocuteur, voire participer à une conférence à plusieurs dans une expérience immersive avec de grands écrans. Avec la vision, on peut montrer, on peut utiliser les gestes et les expressions faciales, on peut décoder les signaux non verbaux, bref on communique mieux. Plus besoin de sauter dans un avion ou un train, plus besoin d’aller au bureau tous les jours. La visioconférence révolutionne doucement mais surement le travail et les relations. Avec des connexions internet de plus en plus présentes et rapides, et le développement du smartphone, la visioconférence va supplanter la voix. Il va falloir vous faire beau !

  • Jour 154 – Tabac

    tabacTabac. Une des plus belles saloperies que l’homme ait inventée et une des plus grandes hypocrisies des états. Fumeur pendant trop d’années, je suis tombé dans la cigarette parce que tous mes copains fumaient et que ça faisait bien. Ce que je ne savais pas à l’époque, c’était le pouvoir addictif de la nicotine. La première bouffée vous rend accroc et c’est quasiment foutu. Pourtant, cette première bouffée est on ne peut plus dégueulasse. De toutes les milliers de bouffées que vous prendrez par la suite, très peu sont réellement bonnes, ou en tout cas perçues comme bonnes. Car au final, chacune de ces bouffées donne à votre corps la dose de nicotine que votre cerveau réclame et vous remplis les poumons de goudrons et autres substances absolument ignobles. Car ne nous leurrons pas, le tabac est une drogue, mortelle et légale. J’ai mis près de trente ans à m’en débarrasser complétement. La meilleure chose qui soit ? Ne jamais commencer. La vie du fumeur est misérable !