Auteur/autrice : marc

  • Good job – Bon travail

    Good job – Bon travail

    « There are no two words in the English language more harmul than good job! » Those are the words of actor JK Simmons as he played Terence Fletcher in the movie Whiplash. The movie is great and if you have not yet seen it, run! But it’s not about the movie I want to write but about this quote from Fletcher. Good job! How many times have we heard or said those words? So, why are they harmful?

    They are harmful because they limit your capaibility to deliver great things. Good job is average, great job is awesome. In the movie, Fletcher references Charlie Parker. If Charlie Parker would have settled for good, it would never have been the musician he used to be, he chose great. In the movie, Fletcher harasses Andrew, or we may say he harresses Andrew if we settle for good. But as Andrew said, he wants to be great. And to be great, you need to be pushed, beyond the limits! This is not harassment, this is search for greatness.

    At the same moment, in France, Joel Robuchon, one of the most famous three-star chefs is sued for harassement. The one who sued the chef does not deserve to be in a three-star restaurant kitchen. A three-star Michelin restaurant is not good, it’s great, in each and every aspect and details. And if the chef wants to keep his/her three starts, he/she needs to push the team for greatness.

    Now, I am not judging is good is better than great. It’s a choice, your choice, my choice, our choice. Sometimes, we think we have given all to be good, but deep inside, there is still energy to deliver the great. Shall we then settle for the good? No! The world, we, I, you, deserve greatness. Without greatness the world is just good, and good is barely the average!


    « Il n’y a pas deux mots français plus nocif que Bon travail ! » Ainsi parle l’acteur JK Simmons alors qu’il joue le rôle de Terence Fletcher dans le film Whiplash. Le film est fantastique et si vous ne l’avez pas vu, courez-y ! Mais ce n’est pas à propos du film que je veux écrire mais à propos de cette citation de Fletcher. Bon travail ! Combien de fois avons nous dit ou entendu ses deux mots ? Pourquoi sont-ils nocifs ?

    Ils sont nocifs car ils limitent nos capacités à faire de grandes choses. Bon travail est moyen, Superbe travail est magnifique. Dans le film, Fletcher fait référence à Charlie Parker. Si Charlie Parker avait choisi le Bon travail, il n’aurait sans doute jamais été le musicien qu’il fut. Il choisi le Superbe. Dans le film, Fletcher harcèle Andrew, ou nous pensons qu’il le harcèle si nous nous arrêtons au Bon travail. Mais Andrew le dit, il veut être un des grands. Et pour cela, il faut aller au delà de ses propres limites. Ce n’est plus du harcèlement, c’est la recherche de la grandeur.

    Au même moment, en France, Joël Robuchon, un des chefs trois étoiles est poursuivi pour harcèlement. Celui qui le poursuit ne mérite pas d’être dans une cuisine trois étoiles. Un restaurant trois étoiles Michelin n’est pas bon, il est superbe, dans tous ses moindres détails. Et si le chef veut garder ses trois étoiles, il doit pousser ses équipes à être superbes !

    Je ne juge pas si le bon est meilleur que le grand. C’est un choix, votre choix, mon choix, notre choix. Parfois, nous pensons que nous avons tout donné pour être bon, mais tout au fond, il reste de l’énergie pour devenir grand. Devons-nous nous arrêter au bon ? Non ! Le monde, nous, moi, vous, méritons la grandeur. Sans grandeur, le monde serait juste bon, et bon est à peine la moyenne !

     

  • Nouvelle année, nouveau blog…

    Non pas que celui-ci passe aux oubliettes, non, non, il va toujours me servir à commenter la crise qui n’en finit pas. Si au niveau international et financier, nous n’y pouvons pas grand chose, à moins de devenir patron du FMI ou président de la république, à titre individuel, les bonnes vieilles recettes fonctionnent toujours et permettent de ne pas se prendre la tête, mais j’y reviendrais en temps et heure.

    Je disais donc que j’ai commencé un nouveau blog, en anglais uniquement (avec toujours la capacité offerte par Bing Translator de faire de la traduction à la volée, qui je dois le dire s’améliore de plus en plus), dont le sujet unique est la productivité. Passionné, comme vous l’avez sans doute constaté, par la productivité et l’utilisation optimale du temps, et passant une bonne partie de mes journées à travailler sur un ordinateur, il m’a semblé tout naturel de lier les deux afin d’offrir à mes lecteurs les meilleurs astuces pour faire plus, plus vite et mieux avec Office, le logiciel de productivité personnel et de groupe.

    Le choix d’Office n’est pas anodin. D’abord parce que je travaille pour Microsoft, ce n’est pas un secret. Ensuite, parce qu’après avoir écrit quelques livres sur Access et PowerPoint dans les années 90, je suis resté fidèle à cet outil utilisé par plus d’un milliard d’utilisateurs sur la planète. Puis, regardant les gens se servir d’Office, je suis toujours étonné de leur utilisation basique alors qu’il existe des moyens simples et rapides de faire plus vite et mieux. Enfin, car depuis plus de 25 ans, Microsoft a apporté une myriade d’innovations dans cet outil, qui se veut aujourd’hui plus que la réunion d’un ensemble d’applications sous un nom commun.

    Et puis, si je devais apporter un élément supplémentaire, c’est celui de la gratuité sur les tablettes Apple et Android, ainsi que sur les futures tablettes Windows 10. Les applications tactiles sur ces matériels sont tout bonnement géniales et laissent leurs concurrentes loin derrière. Alors voilà, ce nouveau blog, OfficeProductivityBlog.com, à bookmarker et consommer sans modération!

  • RIP Pierre Guillermet – 1924-2015

    OLYMPUS DIGITAL CAMERAAlors que je tape ces lignes, les larmes aux yeux, une cérémonie d’adieu se déroule à la Chapelle St-Louis de l’Ecole Militaire, à Paris, en souvenir de Pierre Guillermet, qui nous a quitté le week-end dernier.

    91 ans, un bel âge pour celui qui aurait dû partir il y a près de 70 ans ans, le 18 mai 1945, après l’explosion intempestive d’un mortier, alors qu’il était élève officier. Cette explosion, à laquelle il a survécu, le rendra aveugle et lui fera rencontrer l’infirmière qui deviendra son épouse, sans laquelle mon épouse, leur petite-fille, n’aurait pas existé. Les magnifiques hasards de la vie !

    Cela fait plus de vingt ans que j’ai côtoyé Bon Papa, comme l’appelaient ses petits-enfants et arrières petits enfants, et qui était devenu le mien aussi, ayant perdu mes grands-parents il y a longtemps maintenant. Mais le souvenir le plus prégnant qui me restera de cet homme admirable fut ma sortie en tandem dans le Jura, le Général derrière et moi devant. A plus de soixante-dix ans il était encore vaillant et ne relâchait pas ses efforts pour franchir le col de Pisseloup, votre serviteur au guidon, en qui il mettait une confiance… aveugle.

    Même si nous vivions à des milliers de kilomètres les uns des autres, il ne se passait pas un mois sans que nous nous parlions, que les enfants lui confient leur emploi du temps, qu’il félicite les uns et les autres pour tel ou tel succès. Il laisse un trou béant, des souvenirs fabuleux, mais surtout une immense fierté d’avoir croisé son chemin toutes ces années et d’avoir appris de tant d’abnégation, de bonheur, de rires et d’amour pour la vie, pour son épouse (un modèle – après l’avoir rencontré, vous n’aviez aucune raison de vous plaindre), ses enfants, ses petits-enfants, ses neveux et nièces, ses arrières petits-enfants et tous ses amis.

    C’est un modèle qui forgera notre vie, celle de nos enfants et de tous ceux qui l’on rencontré. Bon Papa, embrassez tendrement Mémie quand vous la croiserez là où vous allez. Vous nous manquez tous les deux !

  • Je suis Français !

    Je suis un être humain

    Je suis Marc

    Je suis Français

    Je suis Européen

    Je suis un citoyen du Monde

    Je suis pour la liberté totale de la presse, la liberté totale d’expression et le respect de la personne humaine.

    Je ne veux pas être reconnu comme appartenant à une communauté que ce soit Charlie Hebdo, une religion, une couleur de peau, un parti politique, un diplôme, une région du monde ou de France, etc.

    Pendant mon éducation primaire et secondaire, dans un école catholique, alors que je suis protestant, il y avait de toutes les couleurs, de toutes les religions, de toutes les classes sociales, et il ne m’est jamais venu à l’esprit de mettre mes camarades dans des boites communautaires. Ce fut la même chose pendant mes études supérieures et jusqu’à maintenant. Que la presse nous fiche la paix avec le communautarisme. Ce qui s’est passé dimanche en France est significatif de ce que la France est: reconnaitre l’homme dans son universalité, indépendamment de toute communauté. Je ne me reconnais dans aucune communauté, je suis Marc, je suis Français, je suis Européen, je suis un citoyen du Monde. Point !