Auteur/autrice : marc

Vidéo. La vidéo a tué les stars de la radio, chantait les Buggles en 1979. Avec 100 heures de vidéo chargées toutes les minutes sur YouTube, ou au vue du nombre croissant de chaine de télé, la prémonition des Buggles est sans doute vraie. Ceci dit, la radio passe maintenant à la télé, puisqu’il est possible de voir certaines émissions en direct ou en podcast. Les outils de prise d’images ont beaucoup évolué, ce qui rend simple la création de vidéo en HD. Et puis l’image animée fascine et n’a souvent pas besoin de retouches, comme une photo. Ce blog en vidéo ? Pourquoi pas, mais dans la mesure où j’écris souvent drapé du calme de la nuit, pas sûr. Mais pourquoi pas une alternance de billet, vidéo et écrit ?

Tranquillité. Le vent s’est apaisé, le soleil brille, la mer est calme, tout est tranquille. Il est bon de pouvoir se reposer en toute tranquillité de l’agitation quotidienne. Comment vas-tu ? Tranquille, répond-on parfois, surtout au sud de la Loire ! En fait la tranquillité est nécessaire. Nécessaire au repos, nécessaire à la réflexion. Dans l’agitation, on ne peut pas réfléchir, on doit agir. Or sans réflexion, il n’est pas d’action. Sans réflexion, il n’est pas de vision. Tout un chacun aspire à sa tranquillité. Cependant, comme le bonheur, je crois que la tranquillité est un choix.

Croissance. Au moment où l’INSEE publie les chiffres de la croissance en France, lui distribuant un massif bonnet d’âne, se pose la question de la croissance. En fait, la question ne se pose pas, ou si elle se pose, c’est parce qu’elle n’est pas comprise. La vie, intrinsèquement, est croissance. Pour l’homme en taille pendant l’enfance et l’adolescence, puis en compétences et en sagesse. Les familles croissent, les états croissent. Il suffit de se promener dans la nature pour voir que tout est fait pour la croissance. Notre rôle n’est pas de la nier, mais de la gérer, de l’accompagner. La décroissance est un jeu de fou. Dans toute action, posez-vous la question de la croissance. Sans croissance, pas d’évolution !

Pollution. Le réchauffement de la planète est la conséquence de notre activité, c’est la fameuse pollution atmosphérique, de plus en plus visible dans certaines villes. L’autre pollution visible est celle provoquée par les détritus que nous laissons derrière nous. Nous en stockons, en brulons ou en recyclons beaucoup, mais nous en jetons aussi des tonnes dans la nature. S’il est désagréable de trouver des décharges sauvages en pleine nature, il l’est aussi de constater ce qui est rejeter à la mer par les cours d’eau. Le septième continent, formé des milliards de tonnes d’objets en plastique rejetés à la mer, est bien réel et est une menace pour la survie de nos océans, et donc pour la nôtre. Le plastique fut un progrès, c’est aujourd’hui un boulet dont on ne se séparera pas simplement. Pourtant un tout petit effort de la part de chacun arrangerait considérablement la situation : juste utiliser les poubelles prévues à cet effet !

Costume. Celui qui l’on porte pour aller au bureau, pas celui qui l’on endosse pour jouer la comédie. Il en existe des centaines de variations, croisé, droit, deux boutons, trois boutons… Au gré de la mode les coupes changent, d’ailleurs en ce moment, on est plutôt année 50. Les couleurs, les tissus offrent une infinie variété. On dit que le costume fait l’homme. Il est certain que l’élégance peut en imposer, quand elle est de bon aloi. Mais elle ne fait pas tout… malheureusement ! Choisissez toujours la qualité, elle se voit et vous catalogue. La mesure voire la demi-mesure révèle l’esthète et l’homme de goût. Certes elle a un coût, mais elle se révèle souvent un excellent investissement. Sortez du lot, le costume fait définitivement l’homme !