Catégorie : Idées

  • Jour 168 – Discours

    discoursDiscours. Voilà un événement qui tétanise beaucoup de monde. Quand on demande de faire un discours, peu de doigts se lèvent. Il s’agit en effet d’un exercice parfois périlleux qui demande un peu d’entrainement. Mais comme tout, cela s’apprend. Toastmasters est de ces organisations qui apprennent cet art. Il n’y a pas d’orateur idéal, car chacun est différent. Cependant, il existe des règles qui forment un bon ou grand discours. Une d’entre elle, et pour moi la plus importante, est l’utilisation d’émotions. Sans émotions, un discours est plat, il ne touche pas. Il peut être techniquement très bien écrit et délivré, mais il lui manquera cette petite touche qui le rend unique. Quel que soit l’orateur, celui qui sait nous faire vibrer et ressentir des émotions fortes fera la différence. Il ne s’agit pas de sombrer dans le mélo, mais de faire appel à ce que nous tous : nos sentiments. Mettez-vous dans la peau de vos auditeurs et faites-les vibrer, vous ferez mouche !

  • Jour 167 – Page Blanche

    page blanchePage blanche. L’angoisse de la page blanche. Si vous avez du produire un jour un document, vous avez tous été confronté à cette angoisse, dite de la page blanche. Vous avez besoin d’écrire quelque chose, ou créer une présentation, et vous partez de rien. Et puis vous êtes face à votre feuille de papier, réelle ou virtuelle, et là, rien ! Rien ne vient, vous ne savez pas comment démarrer, vous n’avez aucune idée. Vous restez immobile, la tête vide, ou pleine d’informations inutiles. Le cerveau nous joue parfois ces tours. Alors, il n’existe qu’un seul moyen de démarrer, c’est de lui jouer un tour à notre façon, en commençant à écrire quelque chose, même inutile, même si cette chose vous la supprimerez plus tard. Le geste d’écrire, de coucher ce qui vient, même si cela semble inutile de prime abord, a l’immense avantage de « déboucher » le lavabo à idées. Au bout de quelques instants, secondes ou minutes, vos doigts courront sur le papier, vos idées viendront d’elles-mêmes. Vous aurez triomphé de la page blanche !

  • Jour 166 – Enthousiasme

    enthousiasmeEnthousiasme. J’étais il y a deux jours à la cérémonie de lancement du club Toastmasters de jeunes de l’école Le Bocage. Non seulement, ces jeunes étaient d’un professionnalisme impeccable, mais ce qui était le plus frappant était leur enthousiasme. De partager, de parler en public, juste d’être là. L’enthousiasme est contagieux. En fait, un râleur dans un groupe d’enthousiastes va s’exclure de lui-même. Parfois l’enthousiasme est factice, on peut le sentir. Mais je préfère un enthousiasme travaillé qui va tout entrainer derrière lui qu’une apathie bien réelle qui tire tout le monde vers le bas. Et puis, à bien y regarder, il y a toujours quelque chose dont il convient de s’enthousiasmer. Alors, faire le pari de l’enthousiasme c’est faire celui de la vie !

  • Jour 165 – Respiration

    respirationRespiration. Quelques minutes sans respirer et c’en est fini. La respiration nous est plus nécessaire que tout autre chose. Non seulement à nous, mais aussi à tous les êtres vivants. Feu mon ami Bernard Alexandre en avait fait la fondation de sa méthode de développement personnel. Elle est à la base de nombreuses disciplines comme la sophrologie ou l’accouchement sans douleur. Une bonne respiration a une influence sur la santé. On le constate quand on fait un sport, apprendre à respirer est essentiel à une bonne pratique. La respiration oxygène le sang et l’aide à se débarrasser de ses impuretés. Même si respirer semble inné, prendre conscience de sa respiration et l’influencer volontairement aura un effet positif sur sa santé et son bien-être. La cerise sur le gâteau ? Ça ne coûte rien !

  • Jour 164 – Confusion

    confusionConfusion. Confus? Tout un chacun a été confronté à des questions qui laissent confus ou qui engendrent une certaine confusion. Il s’agit d’un sentiment normal quand le cerveau traite un certain nombre de données qui sont soit incomplètes, soit incohérentes. La confusion nait donc de notre incapacité à trouver une solution immédiate. Parfois, en ajoutant une information la confusion cesse. Dans la majeure partie des cas, il suffit de mettre les choses à plat et de reconsidérer ce que l’on sait pour s’apercevoir d’où venait cette confusion. La confusion est une étape nécessaire à la compréhension. Elle nous oblige à la réflexion et à la remise en question. Confus ? Ne tombez pas dans l’abyme…