Catégorie : Idées

  • Jour 222 – Ordinateur personnel

    computerOrdinateur personnel. Cela fera plus de 35 ans que j’ai découvert l’ordinateur personnel. De l’Apple II, au Commodore 64 en passant par l’Amstrad CPC 664 et le ZX 81, puis l’IBM PC, j’ai connu les débuts de l’ordinateur personnel, puis toutes ses itérations depuis, sans jamais me lasser. Puis, j’ai vu passer toutes les marques, aujourd’hui disparues ou ayant connues des fortunes diverses, Gateway, IBM, Dell, Compaq. Les hauts et les bas d’Apple jusqu’au retour de Steve Jobs et l’ascension que l’on connait maintenant.

    Depuis toutes ces années, j’ai toujours eu des ordinateurs personnels, du desktop au laptop en passant par le serveur domestique. Ils occupent un point central de ma vie professionnelle et personnelle. Reconnaissons aussi qu’ils sont devenus incontournables et font partie de notre vie. Impossible de s’en passer. Ajoutez-y Internet et vous aurez les ingrédients essentiels de la vie moderne. L’ordinateur personnel, une incroyable épopée d’un peu moins de cinquante ans.

  • Jour 221 – Souris

    sourisSouris. Pas l’animal, le petit engin posé à côté de votre ordinateur. Il faut bien le reconnaitre, il y a trois choses qui n’ont pas vraiment changé depuis l’apparition du premier ordinateur personnel : l’écran, le clavier et la souris. Alors, oui on a les tablettes et leur côté tactile, oui les écrans sont devenus plus ou moins HD, les claviers sont rétro éclairés, mais les moyens de communiquer avec l’ordinateur et de voir les résultats de cette communication sont restés les mêmes. Sans doute parce que nos mains et nos yeux sont essentiels à cette communication.

    La révolution de la voix n’est pas encore bien ancrée, et puis psychologiquement, ce n’est pas toujours simple de parler (et de se faire comprendre) à une machine. Si Siri et Cortana, les assistants vocaux et mobiles d’Apple et de Cortana commencent à démocratiser l’interaction vocale, je vais toujours plus vite pour taper ce texte avec un clavier qu’avec mon micro. Ce n’est pas faute d’avoir essayé ces quinze dernières années, mais je suis plus rapide avec dix doigts que la machine en mode dictée… Je suis cependant persuadé qu’on y arrivera. En attendant, j’aime toujours autant mon clavier et ma souris.

  • Jour 220 – Petites Choses

    petites chosesPetites choses. Les petites choses du quotidien qui nous font sourire ou grimacer. Cependant, quand j’écrivais « petites choses », je pensais « petits bonheurs », donc pour la grimace, on repassera. Ces petites choses donc nous offre un rayon de soleil qui réchauffe le cœur : la lumière d’une étoile, le goût d’une mirabelle, le soleil qui sort des nuages après la pluie, etc.

    Toutes ces petites choses empilées au long de la journée nous offre le bonheur dont tout être humain a besoin. En plus, elles sont gratuites. Il suffit de les remarquer et de mettre un sourire sur notre visage. Le bonheur ne coûte rien, il est fait de presque rien, c’est pourquoi il est fragile. Toutes ces petites choses empilées nous le rappellent tous les jours.

  • Jour 219 – Foncer

    24heuresFoncer. Une fois une décision prise, inutile de tergiverser, foncez ! La rapidité est devenue un atout de nos jours. Certes la réflexion est importante et il est des cas, où il convient de faire un check-up. Je prendrais l’analogie avec les 24 Heures du Mans. La voiture qui gagne est celle qui équilibre vitesse et arrêts au stand.

    Dans nos décisions, il s’agit de trouver cet équilibre entre vitesse et entretien, entre préparation et vitesse d’exécution. Trouver l’équilibre n’est pas chose aisée, mais il ne peut être trouvé qu’en privilégiant la vitesse d’exécution. C’est elle qui vous donnera l’avantage sur le marché et les concurrents. L’arrêt au stand attendra, foncez !

  • Jour 218 – Engagement

    Engagement. Engagez-vous, qu’ils nous disaient. Oh, je ne parle pas de s’engager dans l’armée, mais de s’engager dans ce que l’on fait. Si vous devez faire quelque chose, faites-le à fond, où ne faites pas. C’est aussi simple que cela ! En fait, cela parait simple, mais cela demande un effort conscient : une décision et une qualité d’action.

    L’engagement, c’est ce qui différencie l’action exceptionnelle de l’action simple, la performance exceptionnelle de la performance simple, l’excellence du normal. En s’engageant, on donne tout ce que l’on a, et même un peu plus. On va un peu plus loin, non pour prouver à l’autre que l’on en est capable, mais pour ce le prouver à soi ! Alors, à la prochaine occasion, engagez-vous et montrez ce que l’excellence peut produire !