Catégorie : Idées

Vivre. Ces derniers jours une partie de l’actualité a tourné autour de la disparition du patron de Total. Impossible d’y échapper ! Cela ne peut m’empêcher de penser à d’une part la fragilité de la vie, mais surtout au fait que tout peut s’arrêter d’un coup sec. Comme on bascule un interrupteur de la lumière vers l’obscurité.

Et c’est une des raisons qu’il est important de vivre sa vie à 100%. Chaque instant est important. Chaque inspiration doit être célébrée. Beaucoup de gens courent dans tous les sens et sont tellement occupés qu’ils en oublient de vivre. Louis Aragon disait « Le temps d’apprendre à vivre, il est déjà trop tard ». Certes, le grand poète a sans doute raison dans sa sagesse, mais je lui préfère la maxime de La Rochefoucauld suivante : « qui vit sans folie n’est pas si sage qu’il croit ».

Alors vivons. A fond !

Divali. Voilà une jolie fête qui nous vient de l’Inde. La fête de la victoire de la lumière sur l’obscurité. Et les dieux et déesses hindous savent combien nous avons besoin de lumière en ce moment. Divali est un moment avant lequel les maisons sont nettoyées et rénovées, puis décorées de mille guirlandes de lumière.

Et Divali est aussi un moment de partage de douceurs avec les proches. Et entre lumière, partage et gratitude, c’est pour moi, un merveilleux moment de diversité où tout un chacun peut communier sur l’autel de l’humanité. Divali met la bonté et l’optimisme au centre. Voilà qui va bien avec mon billet d’hier. Si tous les jours pouvaient être Divali, diraient certains ! Eh bien, il ne tient qu’à nous !

Les deux faces d’une même pièce. Je veux pousser un coup de gueule ce matin. Je suis en forme alors, je me lâche. En effet, j’ai plusieurs fois écrit sur les râleurs et les Cassandre. Ceux qui ne voient que mal, perversion et noirceur. Oh certes, je ne doute pas un seul instant que notre monde est angélique et uniquement remplis de personnes bien intentionnées. Cependant, il est tellement facile de se complaire dans la critique. Comme on a l’habitude de dire, la critique est aisée mais l’art est difficile.

En fait, à toute situation, comme à toute pièce de monnaie, il existe deux faces : l’avers et le revers. Pile je gagne, face tu perds… Je pense comme le disent beaucoup de personnes qui se refusent à voir le noir, que nous vivons une époque formidable. Et que comme humanité nous faisons le mieux de ce que nous faisons à l’instant t. Non, le passé n’était pas mieux et oui, le futur est excitant et sera certainement encore mieux que le présent.

Alors, je m’en vais retourner à mon blog créateur de changement positif. Je vais continuer à apporter ma pierre à l’édifice, en avançant, en contribuant en montrant la voie et, surtout, en me détournant de tous ces commentateurs de l’actualité, inutiles et néfastes ! Alors, oui, une pièce a deux faces. La décision d’en ignorer une nous appartient. Nous sommes le fruit de nos décisions !

Ugg. Bon, y’en a marre du spam pour acheter des bottes Ugg à prix réduit. D’abord je les trouve moches, ensuite ces commentaires sont détectés par les filtres anti pourriels, alors franchement… Mais bon, cela rappelle qu’une grande partie du trafic sur Internet est constituée de pourriels et qu’il est donc important de s’en protéger.

D’un autre côté, ces pourriels consomment de la bande passante et de l’énergie. Il nous rappelle aussi l’application fondamentale de la loi des grands nombres : plus l’échantillon est grand, plus les pourcentages sont fiables. Il y a donc fort à parier qu’il y a quelques utilisateurs qui cliquent sur les liens et se font attraper. De ce fait, le pourriel aura atteint son objectif pour l’expéditeur.

De ce fait, comme beaucoup de choses en ce bas monde, rien ne sert de se plaindre, il faut juste faire avec et se protéger du mieux possible. Il faut croire que le prix à payer pour maintenir un blog est d’avoir un bon filtre anti-pourriel. Et une fois le prix payé, et bien laissez venir les messages pourris pour des Uggs encore plus pourries que les messages. Beurk !

Cerveau. Voilà un organe fascinant sans lequel nous ne serions rien. Fruit de millions d’années d’évolution, il dévoile doucement ses mystères et reste l’objet de nombreuses recherches. On connait sa relative plasticité, on l’a cartographié et on sait l’opérer. Il fonctionne avec des impulsions électriques, comme nos ordinateurs, mais il reste loin devant ses ordinateurs quand il s’agit de gérer à la fois notre corps, nos émotions et nos réflexions logiques.

Ce que l’on sait aussi depuis peu est l’incroyable neurogenèse, c’est-à-dire la régénération de neurones provoquée par l’exercice physique. Je ne peux pas m’empêcher de penser aux boucles de feedback, utilisées de manières massives dans une majorité d’appareils mécaniques ou électroniques. En somme, le cerveau commande le corps qui lui fournit des indications sur son fonctionnement grâce à l’ensemble des différents capteurs qui le compose, et lui permet grâce à ses mouvements de fabriquer de nouveaux neurones qui vont mettre en place de nouveaux circuits de décision. Une fantastique machine qui s’auto-entretient !

Alors il en est du cerveau comme de tous les autres organes de notre corps, il faut l’entretenir. À la fois en le faisant travailler par la réflexion et les joutes intellectuelles, mais aussi par l’activité physique qui force la production de nombreuses hormones et procède à la génération de nouveaux neurones. Une machine juste merveilleuse !