Catégorie : Freedom

  • Il n’y a pas de rêves trop grands…

    …il n’y a que des aspirations étriquées. Et si on se mettait à croire à ses rêves, à ses désirs les plus fous ? Combien de fois a-t-on tué une idée folle car elle n’était pas possible ? Combien de fois a-t-on enterré un idéal car il n’était pas convenable ? Il n’y a pourtant pas de rêves trop grands, pas d’idéaux trop fous, il n’y a que nos décisions de les poursuivre ou pas…

    Oh, si vous décidez de transformer un rêve en objectif, vous prenez le risque de passer pour un fou. On vous regardera comme un animal bizarre. La meute ne peut pas se satisfaire d’une brebis galeuse. Il faudra alors faire des choix et sans doute quitter la meute. Il est dit qu’on est la moyenne des cinq personnes qu’on fréquente le plus. Regardez autour de vous et décidez de rêver en grand !

    Update – suis juste tombé sur l’update Instagram de Robin Sharma aujourd’hui:

    https://www.instagram.com/p/BG308IltMZo/
    Belle résonance avec ce billet posté ce matin. Remplissez votre esprit avec des rêves géants afin de ne laisser aucune place aux questions insignifiantes.

  • Une crise, vous avez entendu parler d’une crise, vous ?

    https://unsplash.com/anthonydelanoix
    https://unsplash.com/anthonydelanoix

    Jour 714 C’est la crise à droite à cause de la vilaine Marine, c’est la crise à gauche à cause du vilain Bartolone, c’est la crise économique à cause de la vilaine finance, c’est la crise des migrants à cause du vilain Bachar, c’est la crise de l’éthique avec le vilain Donald, où que l’on regarde, c’est la crise partout. La vraie crise dans tout ça : celle des médias qui nous abreuvent de leurs commentaires, de leurs peurs et des névroses de tout un chacun amplifiées par les effets papillons et boule de neige. Alors moi je dis, stop ! Y’en avait déjà ras la casquette avant les élections régionales en France et celles présidentielles aux USA, mais là, la coupe est pleine. En fait, non, la coupe est vide. Vide de sens, vide d’idées, vide de courage, vide d’ambition, vide de futur qui chante, vide d’espoir, mais par-dessus tout vide d’intelligence collective.

    Les peuples veulent plus de justice, de partage et de joie, les individus plus de sécurité, de replis communautaire et d’ostracisme. Le monde est en fait devenu schizophrène, car incapable d’imaginer un futur de partage joyeux, presque communisant devrais-je dire. Pas étonnant que les riches soient de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres. Ah, mais c’est ce qu’on vous a dit, parce que dans les pays dits développés, les pauvres sont de plus en plus riches en fait, malgré les écarts qui s’amplifient.

    Alors oui, il y a peut-être une crise, c’est surtout celle des consciences qui se délitent, qui voient le lendemain sans penser au mois prochain, qui voient leurs nombrils sans penser au moi prochain. On en revient alors aux plus simples des fondamentaux : liberté, fraternité, égalité. Terminons par le clivage mondialiste et patriote dans lequel veut nous entrainer le FHaine. Ne peut-on pas être mondialiste et patriote à la fois ? Reconnaitre que le monde est plat et qu’il est riche de ses diversités ? Manger un couscous à midi avec un verre de Boulaouane gris et un petit salé au lentille le soir avec un verre de Crozes Hermitage ? Aimer flâner sur le bord de mer à Maputo, Casablanca, Singapore ou Nice, en appréciant la diversité d’architecture et de culture ? Faire croire que la force d’un pays est dans sa petite monnaie nationale ? Que de questions et que de mensonges. A ces mensonges, je ne réponds qu’une seule vérité : c’est en sortant de chez soi avec un esprit ouvert que chacun s’apercevra que de Dunkerque à Tamanrasset et bien au-delà, il n’est que des hommes égaux et différents, que des peuples uniques et riches de leurs histoires, que des mondes fascinants qui ne demandent qu’à être découverts et partagés.

    Alors, il y a une crise ? Non, pas chez moi, ni chez mes voisins ou chez les personnes que je côtoie. Le monde est le meilleur qu’il peut être au moment où il l’est. Quand on a intégré cette vérité, on vit heureux. Heureux qui comme Ulysse à fait un beau voyage ! Sortez et découvrez que c’est en ouvrant les bras aux autres qu’on continuera à construire plus de liberté, de fraternité et d’égalité. A tchao, bonsoir !

  • L’être humain, la globalisation et les citoyens du monde

    https://unsplash.com/lexaliviado
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    Jour 708 « Les Français ? C’est dommage qu’il y en ait beaucoup en France ». C’est mots sont d’Hervé Renard. Un peu provoc’ ils expriment le schisme qui se crée quand vous vivez et travaillez à l’étranger. Hervé Renard n’est pas forcément une figure très connue en France, malgré son éphémère passage comme entraineur de l’équipe de football de Lille. Mais en Afrique, il est l’homme qui a emmené les Éléphants à la victoire pendant la Coupe d’Afrique des Nations. Oh, les Éléphants, c’est l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Ben oui, le foot, ce n’est pas que l’OM, le PSG et le Barça…

    Alors quelques mots sur Hervé Renard et ses propose. Il se trouve que 1. Je me trouvais à Abidjan quand la Côte d’Ivoire a gagné la CAN (Bertrand, chouette souvenir non ?) et 2. Hervé Renard se trouvait dans le même hôtel que moi et j’ai pu le croiser à plusieurs reprises. Ceci appelle quelques commentaires simples. D’abord, j’ai vu un homme humble, pas grisé par son statut victorieux, mais approchable et souriant. Ensuite, réussir ce qu’il a fait dans un pays étranger pour lui est remarquable car cela demande deux immenses qualités : le respect (respecté l’autre et être respecté) et le leadership. Mais cela provoque aussi un schisme : en vivant et baignant dans une autre culture que la sienne, on apprend vite à embrasser les différences et à les faire sienne. Un arbre ne perd jamais ses racines, mais ses branches et ses feuilles s’adaptent à son environnement. C’est ce que veut dire Hervé Renard avec sa phrase provoc ‘.

    Quand on a vécu à l’étranger, parcouru le monde, et rencontrer d’autres cultures, on voit les travers de ses concitoyens. Ceux-là même qui font voter pour un parti fasciste, rejetant l’autre et prônant le repli sur soi. Mais Hervé Renard a raison. Le monde est plat, global et ouvert. Ce n’est qu’en le rendant encore plus ouvert qu’on le rendra meilleur. Ce n’est qu’en apprenant de l’autre qu’on devient meilleur. Ce n’est qu’en se mélangeant en respectant nos différences que les hommes deviennent de vrais citoyens du monde. Alors les frontières, ouvrez-les et les Français, bougez votre cul de votre poste de télévision, allez voir ailleurs, il y a beaucoup à apprendre. Et puis foutez-moi le FN à la poubelle, c’est un parti haineux, d’arrivistes menteurs et mesquins. Voilà c’est dit ! Vive la France et tous ces Français qui sont fiers d’être Français et Citoyens du Monde !

  • Le faux débat de la durée du travail…

    https://unsplash.com/flenjoore
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    Jour 638. Je parlais il y a quelques jours de la robotisation et du mythe de la fin de l’humanité. Que les robots prennent ou non le pouvoir reste à démontrer. En revanche que la robotisation nous rende de plus en plus oisif est une évidence. J’appelais ma banque l’autre jour pour demander à faire un virement, mon chargé de compte me conseillant de le faire directement en ligne. Je le remerciais et me demandais à quoi il servait ? Sans doute plus à grand-chose. Je ne dois pas avoir suffisamment d’argent pour que l’on s’occupe de moi sans doute !

    De plus en plus de tâches vont être automatisées. Là où on peut remplacer un ou plusieurs hommes par une machine, on va le faire. La question n’est donc plus de savoir combien d’heures on doit travailler par semaine, mais comment réorganiser le travail des humains dans les 20 ans à venir ? Le salariat est en voie de disparition, comme la paysannerie a disparu au vingtième siècle. Quand j’entends la catastrophe annoncée d’Air France, celle de la remise en question potentielle des 35 heures en France, quand je reçois des demandes d’embauche de jeunes par les réseaux sociaux, je me dis que la plus grande catastrophe est à venir : celle de la fin non anticipée du travail salarié.

    Soyons clair : le travail salarié est moribond, dans vingt ans il sera mort. Que faites-vous aujourd’hui pour passer à la nouvelle ère de flexibilité, de liberté et d’opportunités qui s’ouvrent devant nous ? Peut-être rien aujourd’hui, il n’est jamais trop tard pour commencer. Demain, il sera sans doute trop tard.

  • In pause mode…

    Day 574. Going to the beach, cleaning the attics, fixing that thing that needed to be fixed for a while… This pause mode is awesome. It needs to happen more often!

    Apologies if I do not publish more often and regularly. Enjoy summer, smile more, be happier! Yes, it’s possible!