Auteur/autrice : marc

  • Jour 180 – Nationalité

    nationNationalité. Entre les sorties de Marine Le Pen sur la double nationalité et la communauté algérienne française fêtant la qualification de l’équipe d’Algérie pour la huitièmes de finale de la coupe du monde de football, la question de la nationalité s’invite sur le devant de la scène. Mais en même temps, celle de la nation. La nation : un concept fédérateur politique, économique et social. Malheureusement, le social tend à se déliter, faute aux communautarismes locaux et étrangers. L’économique ne suffit plus tant la mondialisation cherche à effacer les frontières. Ne reste plus que le politique que le peuple abhorre doucement mais surement. La nation est-elle donc appelée à s’effondrer ou à s’effacer ? Oui ! Car le monde n’est pas fait de nations qui ne sont qu’une construction politique, mais de tribus qui forment liant social et économique. Reste à trouver le bon modèle pour faire vivre ces tribus en paix et en collaboration dynamique et respectueuse. Le monde de demain est fascinant !

  • Jour 179 – Erreur

    erreurErreur. Qui n’a jamais fait d’erreur n’a jamais rien fait ! L’erreur est naturelle devrais-je dire. Elle fait partie de notre quotidien. Le problème est que l’erreur est stigmatisée à l’école par la mauvaise note. Une erreur et ce sont quelques points en moins. De fait, l’erreur est inhibitrice, alors qu’elle devrait au contraire être source d’action. Je fais une erreur, j’apprends de cette erreur et peut passer à autre chose. L’erreur est donc une étape nécessaire du processus d’apprentissage.

    Alors, oui, on n’est jamais très fier d’avoir fait une erreur. Pourtant, on devrait l’être, car elle est un signe de notre action. Il n’existe pas de succès qui ne soit précédé d’erreurs.

  • Jour 178 – Prospect

    prospectProspect. Il y a des prospects partout encore faut-il avoir une stratégie pour les attirer. Euh, c’est quoi un prospect ? C’est un client en devenir ! Cependant, passer du statut d’inconnu à celui de prospect puis à celui de client nécessite des efforts. Des livres, que dis-je, des bibliothèques ont été consacrées à la prospection commerciale et à l’art de faire payer ces prospects pour qu’ils deviennent des clients.

    Cependant, il n’existe à mon sens que deux règles à respecter pour créer des prospects et des clients : le désir et la confiance. Le désir de votre produit ou service, et la confiance en votre société. Le succès commercial se résume donc aux réponses à deux questions : mon produit est-il désirable ? Ma société inspire-t-elle confiance ? Facile non ? Pas simple !

  • Jour 177 – Café

    cafeCafé, thé et consort. Quel est le secret d’une bonne campagne commerciale ? L’imagination, le design, le prix ? Le produit ! On parle souvent de marketing mix : Prix, Produit, Place, Promotion. Mais on oublie qu’un mauvais produit peut se vendre à coût de promo ou d’un bon mix canal, y compris à un prix mal étudié. Un bon produit nécessite aussi un bon prix, un bon canal et une bonne promo. Cependant, c’est le produit et l’innovation qui en font un champion. Le café est-il un produit nécessaire ? Non, on peut s’en passer. Priver quelqu’un d’un café et il va vivre. Cependant, offrez-lui la possibilité d’avoir un café et il va en consommer. Si vous pouvez faire de votre produit le café du consommateur, il va se vendre sans effort particulier, en raison de son unicité. Ajoutez-y une caractéristique unique, comme ces petites capsules qui fonctionnent avec la machine qui va bien et vous avez une « cash cow ». C’est le produit qui fait le succès, pas les autres P. Allez, je vais m’en jeter un petit, comme on dit !

  • Jour 176 – Faits

    faitsFaits. Quand il y a un crime, l’émotion est à son paroxysme, mais les enquêteurs recherchent des preuves, des faits qui peuvent expliquer le crime et déjouer l’auteur. Pourtant, quand on entend aujourd’hui les grèves, les informations diverses et variées qui appellent des interventions pleines d’émotion, on devrait se demander où sont les faits, les preuves ? Pas l’histoire, juste les faits qui assoient ce qui se dit. Seuls les faits permettent de dépassionner le débat. On peut toujours contredire des faits par d’autres faits, mais on rentre alors dans un autre débat concernant l’importance de ces faits. Il est crucial de ne pas laisser les émotions brouiller votre vue. Il est évident que nous sommes des êtres émotionnels et que toute annonce a un impact sur nos émotions et notre réaction potentielle. Il convient cependant de raison garder et d’en revenir aux faits, rien qu’aux faits !