Auteur/autrice : marc

  • Jour 205 – En avant !

    en avantEn avant ! Ce pourrait être l’ordre donné à des troupes, c’est avant tout le seul sens possible ! Impossible de revenir en arrière (dans le temps), on avance, on avance, comme chantait Souchon.

    Parfois on peut penser que l’on avance vers sa perte, alors que nous avons un certain contrôle, pour ne pas dire un contrôle certain, sur les événements. Rien n’est fatal ! Comme le disait Churchill : le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal, l’important est le courage de continuer !

    Comme je me plais à le répéter, on doit apprendre de ses erreurs, de son passé pour construire un meilleur futur maintenant ! Garder de l’amertume, de la colère, ne fait que nous retenir d’avancer plus vite, plus haut, plus fort !

  • Jour 204 – Think BIG, start small !

    bigThink BIG, start Small. La bonne maxime de tout créateur d’entreprise sans de capital de départ. Mais cela peut s’appliquer à beaucoup de chose dans la vie. Pourquoi avoir des rêves étriqués et s’imposer des limites quand on peut voir les choses en grand.

    Le problème avec le grand, c’est que si on dimensionne mal au départ et voyons trop grand trop vite, le capital vient rapidement à manquer et c’est la faillite garantie. Il est, de loin, préférable de commencer petit, de valider les hypothèses au départ, mais surtout, surtout de gagner de l’argent, avant de s’agrandir.

    Mais, il est surtout primordial de penser dès le départ à l’expansion, de l’avoir en ligne de mire. A quoi bon limiter votre génie et votre excellente exécution à un petit cercle de client. Le monde est vaste, que faites-vous pour le conquérir ?

  • Jour 203 – Propreté

    métroPropreté. J’étais dans le métro ce matin à Atlanta et la première chose qui m’a surprise est sa propreté. Après des années à Paris, prendre le métro parisien est une épreuve, olfactive, visuelle, auditive, sociologique et psychologique. Ici, nous sommes à l’opposé, et plutôt du bon côté. Certainement, un équilibre entre prévention et répression. Bien que ce second point ne soit pas visible, les affiches du code de conduite dans le métro sont partout.

    Le résultat ? Un métro propre, sans mendiant ou pickpocket, sans musicien ambulant qui casse les oreilles des passagers. On peut dire que l’Amérique cache ses pauvres, sans doute, j’y reviendrai peut-être, car j’en ai croisé ce matin pendant mon jogging quotidien. En tout cas, prendre le métro s’apparente ici, comme à Singapour par exemple, à une expérience plaisante.

    Pour terminer, la propreté n’est pas limitée au métro, mais partout dans les rues, jusqu’à ses propriétaires de chiens qui ramassent les déjections de leurs amis à quatre pattes. Les grandes villes de France ont du chemin à faire, mais c’est possible, il suffit juste de volonté. La question : est-elle là ?

  • Jour 202 – Oncle Sam

    onclesamOncle Sam. Bon je ne vais pas me faire que des amis, mais j’adore les États-Unis. Ben oui, on peut adorer l’Afrique, la France, l’atieke, le cassoulet, et les États-Unis et un bon gros hamburger juteux ! C’est cette diversité qui me fait aimer la vie, ma vie et cette vie incroyable qu’il nous est donné de vivre quelques ténues années.

    Je suis donc sur le sol américain pour quelques jours, respirer à plein poumon l’air (pollué) d’Atlanta, sous un soleil de plomb. Reste que ce pays, le plus endetté du monde, a une capacité à se réinventer, à joindre le pire et le meilleur et à continuellement m’émerveiller. Il faudrait parfois que le Français, mon compatriote lointain, s’inspire de certaines idées (pas toutes, eh) pour transformer à notre tour la société française jacobine.

    Alors Français, barre-toi ! Vas voir chez l’Oncle Sam toutes les belles choses qui s’y trouvent et laisses-y les moches ! Puis revient et fait la révolution ! On en a besoin !

  • Jour 201 – Peuchère !

    pinPeuchère ! Voilà ce qui me vient à l’esprit en entendant les cigales de mon jardin. Et j’apprends que cette expression vient de pécheur, et qu’elle est utilisée pour marquer la compassion voire la commisération !

    Et bien peuchère, en voilà de belles et grandes choses ! Bien loin de mon état de relaxation profonde, bercé par les cigales et cette odeur entêtante de pin. Mais quelle belle chose que la langue, que ces variations qui existent d’un pays à l’autre, d’une région à l’autre, voire d’un village à l’autre.

    À l’heure de la globalisation, ce sont ces appartenances locales qui se révèlent dans ces variations. Ce sont ces variations qui créent les tribus, chères à Seth Godin. Car après être des hommes et des femmes, et bien avant d’être des consommateurs, nous sommes tous des membres de tribus. Tribus dans lesquelles nous nous reconnaissons et reconnaissons les nôtres.

    Peuchère, ça me fait mal aux cheveux de penser. Je retourne à ma sieste !