Auteur/autrice : marc

  • Jour 215 – Télétravail

    Télétravail. Ah la belle affaire ! Travailler sans aller au bureau. Mais travailler chez soi, est-ce travailler ? Tout dépend du regard que l’on a et de la discipline que l’on y met. Habitué au télétravail depuis de nombreuses années, voici les cinq règles à mettre en place pour transformer l’expérience en mode de travail efficace.

    1. Réservez-vous un espace à vous, hors de tout passage. Une chambre fermée ou un bureau si vous en avez un est idéal. Il est super important d’être au calme et hors de tout bruit.

    2. Définissez des horaires et tenez bon. Vous allez récupérer votre temps de transport, une aubaine, mais allez aussi faire face aux distractions de la maison. Définissez quand vous vous mettez au travail et quand vous arrêtez.

    3. Equipez-vous en matériel informatique et de communication top niveau. Un micro-casque d’excellente facture est nécessaire pour les conférences téléphoniques. Rien de plus désagréable pour vos interlocuteurs que des grésillements sur la ligne.

    4. Informez vos collaborateurs que, bien que télétravaillant, vous êtes joignable sur votre téléphone et sur le système de communication de l’entreprise. N’hésitez d’ailleurs pas à prendre des pauses pour discuter avec certains de vos collaborateurs. La pause-café pendant laquelle vous discutez avec vos collègues n’existe pas en télétravail, recréez-là !

    5. Produisez et communiquez. Le télétravail est particulièrement utile pour produire un document par exemple, en raison du faible niveau de perturbation. Mettez ce temps à profit pour produire ce qui doit l’être : écrire un rapport, créer une présentation, finir votre plan commercial, etc. Puis communiquez-le !

    Le télétravail est une excellente manière de travailler mieux et plus vite. Je constate souvent que 8 ou 9 heures au bureau se transforme en 4 ou 5 en télétravail. Profitez-en !

  • Jour 214 – Quantique

    Quantique. Impossible d’ouvrir un magazine sans tomber sur une référence à l’ordinateur quantique. Même Philosophie magazine ! C’est dire si le sujet est d’actualité. Il faut dire que se passer de ces deux états, ouvert et fermé, soit 0 et 1, est une petite révolution en soi !

    Fini l’algèbre binaire et la révolution qu’a engendré le transistor. Avec l’ordinateur quantique, la puissance de calcul explose, car si on veut que la loi de Moore continue à s’appliquer, il faut trouver d’autres modes de calcul, étant arrivé aux limites physiques de la finesse de gravure des processeurs.

    Entre l’internet des choses et l’ordinateur quantiques, une chose est sûre et certaine : impossible de ne plus être connecté !

  • Jour 213 – Passé

    Passé. Le passé explique-t-il le présent ? Il l’influence, c’est certain. Je suis qui je suis en raison des expériences du passé. Ceci étant le déterminisme n’est pas parfait. Deux frères ne forment pas un être unique. Ils ont chacun des expériences différentes, car ce sont deux êtres différents.

    Cependant, le passé fascine. Il y a en effet, à priori, plus d’historiens que de futurologues. Il est plus simple d’étudier l’histoire qui a existé que de conjecturer sur le futur qui va exister. Pourtant, il est possible d’influencer sur le futur, alors que le passé est immuable. Chacun trouve son plaisir là où il veut, le passé est fascinant, le futur excitant !

  • Jour 212 – Nature

    natureNature. La nature nous recentre, nous repose, nous réaligne. Elle peut-être aussi une horreur pour l’urbain qui apprécie plus que tout cette trépidation permanente de la ville. La nature semble lente, trop, pour l’urbain. La nature m’est nécessaire, vitale. Une célèbre marque de voiture faisait sa publicité de et si le luxe s’était l’espace.

    Et bien c’est la nature qui m’offre cet espace. Cette nature qui ne coûte rien, qui donne sans rien demander si ce n’est d’exister, et qui finit toujours par triompher. Aujourd’hui, la science y puise son inspiration, des matériaux aux végétaux, elle nous en apprend car elle a tout inventé. Il faut dire qu’elle a eu du temps, beaucoup plus que notre science humaine, teintée de notre faconde et de nos imperfections. La nature corrige ses imperfections pour créer au fil du temps la plante ou l’animal parfait pour son environnement.

    La nature est une inspiration de tout instant à qui sait la regarder et l’écouter.

  • Jour 211 – Café

    coffeeCafé. Le café m’évoque deux choses: ce breuvage unique, amer et doux à la fois, et le voyage qu’il a fallu à ces grains pour arriver dans ma tasse. Au risque de choquer les puritains de la caféine, j’aime tous les cafés : long, court, ristretto (mon préféré), au lait, américain, cappucino, à une condition unique : sans sucre ! Le sucre tue l’amertume et la subtilité des saveurs.

    La diversité apporte cette variété des goûts. Le ristretto, ce café ultra-court est un condensé de cafféine, presque solide. A l’opposé l’américain, café allongé, procure une sensation plus douce, sans amertume, très liquide. Et puis un nuage de lait change tout. De la noisette, cet expresso avec juste une goutte de lait au café au lait, dans lequel le lait est majoritaire. Juste l’émerveillement de ce que ce petit grain peut déclencher comme sensation et émotion gustative.