Auteur/autrice : marc

  • Jour 284 – Image

    imageImage. L’image a pris le pas sur l’écrit. Entre Facebook, Twitter, Youtube, Pinterest et consort, l’image règne en maitre. Et c’est sans compter sur la télévision qui trône dans le salon de quasiment tout un chacun et a pris le pas sur toutes les autres distractions. Une image vaut mille mots. Si elle est animée, elle en vaut deux milles.

    En soi, l’image n’est ni bonne, ni mauvaise. Le photographe, le peintre ou le réalisateur s’expriment au travers de l’image. On dénigre parfois l’image comme n’ayant pas la part d’imaginaire que l’écrit véhicule. En fait, tout dépend de sa qualité. Une image peut engendrer l’émotion, un texte aussi, ou pas. On en revient toujours à l’objectif ultime de la production et à la question de l’élévation de l’esprit. Distraction ou réflexion ? De plus en plus de la première, de moins en moins de la seconde.

  • Pensée du week-end

    Do not forget what is to be a sailor because of being a captain yourself. ~ Tanzanian proverb


    N’oubliez jamais ce qu’est être matelot quand vous devenez capitaine. ~Proverbe tanzanien

  • Jour 283 – Vendredi

    smileyVendredi. Pas le copain de Robinson Crusoé, le jour de la semaine. Vous avez remarqué que l’humeur est joyeuse le vendredi et tristounette le lundi. Ben oui, le vendredi c’est le dernier jour avant le week-end, alors que le lundi c’est le premier de la semaine.

    Et bien, si on changeait tout ? Être heureux le lundi car c’est le début d’une nouvelle semaine pleine de promesses et encore heureux le vendredi car on va passer un super week-end. En fait, si on faisait le pari du bonheur TOUS LES JOURS ?

  • Jour 282 – Au-delà

    au-delàAu-delà. Pas l’au-delà au sens de vie après la mort (c’est un sujet en soi, dont personne n’est sûr puisque personne n’est jamais revenu d’un voyage dans l’au-delà), mais au-delà de ce que l’on pensait être une limite. Tout le monde a des limites. Il est inhérent à la croissance de l’humanité et à la nôtre de les repousser.

    Un peu comme le Monsieur Plus d’une publicité d’il y a quelques années. Un peu plus loin, un peu plus haut, un peu plus fort. Passer au-delà. Au-delà de ses peurs, au-delà de son imagination. Tant que l’on ne va pas au-delà, on ne progresse pas. On ne repousse sa zone de confort. Et comme le m’a appris mon père : qui n’avance pas recule ! La prochaine fois que vous faites quelque chose, demandez-vous si vous êtes allé au-delà… même de quelques millimètres. Une victoire après l’autre !

  • Jour 281 – BS

    foutage de gueuleLes anglo-saxons utilisent ces deux lettres pour désigner un gros mot : bullshit. En français dans le texte, merde de taureau, c’est-à-dire, dans notre jargon, du foutage de gueule… Bon stop pour les grossièretés, et place à ce qui se cache derrière cette réalité. Dans la plupart des cas, j’ai ma théorie toute simple : quand quelqu’un vous sert du BS, c’est qu’en fait certaines actions n’ont pas été faites et qu’il est parfaitement simple de raconter une histoire pour maquiller l’inaction.

    Prenons un exemple. Si je demande pourquoi mon fils n’a eu que six sur vingt en math, il va me raconter toute sorte de chose, comme quoi les exercices portaient sur une partie du cours qu’il n’avait pas vu en classe, que la prof ne l’aime pas ou que son stylo n’écrit pas bien… Tout ça, c’est du BS. La vraie raison ? Il n’a pas révisé, il n’a pas mis en œuvre les actions nécessaires à sa réussite. On peut chercher des circonstances atténuantes, mais au final, la vérité est le manque de révision et rien d’autres.

    Dans le monde professionnel, il en est de même. Le BS règne même en maitre dans l’entreprise. Il existe des maitres ès BS. Le seul moyen de tuer le BS, en revenir aux faits, rien que les faits, vérifiables ! C’est parfois long et complexe, avec de nombreux obstacles, mais la vérité finit toujours par triompher.