Auteur/autrice : marc

  • Nouvelle identité pour le club Toastmasters de Port Louis

    Nous avons profité du dernier meeting du club Toastmasters de Port Louis pour présenter brièvement aux membres la nouvelle identité du club. Nous avons pour cela suivi les conseils de Toastmasters International. En quelques jours nous avons refait le site Web, avons utilisé les nouvelles couleurs et logos (y compris sur l’agenda), et avons commandé les nouveaux éléments (bannière, pins, etc.).

    Il est très intéressant de voir comment Toastmasters International a rendu le process simple pour les clubs. Tout est sorti le même jour: des nouveaux sites web aux matériels marketing, en passant par le magazine et les documents électroniques. Il s’agit d’une grande leçon de business et project management. Cela leur a pris près de trois ans, couvrant trois présidents différents, et le résultat est superbe.

    Pour en savoir plus sur le rebranding de Toastmasters et du club, reportez-vous à l’article du Matinal : Nouvelle identité du Port-Louis Toastmasters Club.

  • Un premier article dans Le Matinal

    Cela fait un moment que la plume me démange. Quelques billets de blog plus tard et mon élection au poste de Président du Club Toastmasters de Port Louis ont eu raison de mes hésitations. Une discussion avec le directeur exécutif du matinal et c’est parti pour une série de billets sur le leadership et la communication, dont le premier sur les mentors, en anglais…

    Vous allez me dire, quel rapport avec la crise ? Et bien, attendez le second billet !

  • Et c’est reparti…

    Après deux mois d’absence et un mois et demi de disparition du site, nous revoilà de retour en ligne, mon blog et moi, chez un nouvel hébergeur… Des tonnes de choses à écrire, deux millions de projets, quatre milliards d’idées et plus d’énergie qu’une centrale EPR, alors comme on dit chez l’Oncle Sam, stay tuned !

  • Optimisme et attitude positive

    Est-ce que l’optimisme est nuisible ? Faut-il sombrer dans l’angélisme ? Faire des compliments et avoir une attitude positive aide-t-il à créer une meilleure ambiance ? Il est vrai que parfois l’optimisme gène. Comment peut-on être optimiste avec toutes ces mauvaises nouvelles autour de nous, toutes ces catastrophes, ce futur noir ?

    En fait, tout est question de point de vue. Si vous allumez la télévision, et en particulier les nouvelles, vous ne verrez que le noir dans le monde. En effet, les belles choses ne font pas vendre. Il faut abreuver notre besoin de sang, de noirceur, de catastrophes… ça fait de l’audience. Et pourtant, pour chaque entreprise qui licencie, il y en a qui embauchent et se développent. Pour chaque famille qui se décompose, il y en a qui grandisse dans l’harmonie. Pour chaque accident de voiture, il y des centaines, des milliers de personnes qui arrivent à bon port. Et je pourrais continuer ad libitum. D’où ma règle numéro 1: débranchez votre télévision !

    Optimisme ne veut pas dire fermer les yeux sur ce qui va mal dans le monde, mais les ouvrir sur ce qui va bien dans votre monde. Optimisme veut dire que le matin quand vous vous levez, votre monde est fait d’espoir et que votre contribution le rendra meilleur. Si chaque personne de cette planète pouvait améliorer directement ou indirectement la vie d’une ou plusieurs personnes chaque jour, imaginez ce que serait notre planète !

    L’attitude est quelque chose de contagieux. Entourez-vous de personnes négatives et vous broierez du noir. Entourez-vous de personnes positives et vous retrouverez la pêche, même si vous avez des problèmes. Rien ne s’est fait en étant négatif, mais tout s’est fait en agissant positivement. La positivité engendre l’action et l’action engendre les résultats. Oh, tout ne réussit pas tout le temps et il n’est pas question d’angélisme. Il a fallu des milliers d’essais à Edison pour mettre au point la lampe électrique. Que serait notre monde si après le dixième essai il avait laissé tomber ?

    Comment faire pour être optimiste et avoir une attitude positive ? C’est simple (mais pas toujours facile):

    1. Débranchez votre télé. Plus de journaux télévisés, plus d’émissions débiles, utilisez votre temps pour apprendre de nouvelles choses utiles pour votre travail et votre vie.
    2. Agissez – les discussions inutiles n’engendrent rien, laissez tomber les discussions stériles devant la machine à café
    3. Célébrez toutes les petites victoires
    4. Fixez-vous des objectifs à atteindre tous les jours (même petit, ils ancrent la réussite), toutes les semaines, tous les mois, tous les ans et des objectifs sur le long terme, en un mot planifier votre réussite !
    5. Pour chaque pensée négative, forcez-vous à avoir 10 pensées positives et notez-les, elles vous serviront plus tard
    6. Le soir remémorez-vous de toutes les petites victoires de la journée et enterrez tous les ennuis. Partagez avec votre conjoint toutes ces petites victoires
    7. Lisez des biographies d’hommes et de femmes célèbres, ainsi que des histoires incroyablement positives, comme Paris est une fête d’Hemingway ou Le moine qui vendit sa Ferrari de Robin Sharma

    Plus dans un prochain billet.

  • J’ai le droit!

    Alors que les indignés campent à Athènes, à Madrid ou à Lisbonne, et sans doute bientôt à Paris, je me pose la question des droits. On parle en effet du “droit” au travail, du “droit” à la dignité, du “droit” à l’éducation, maintenant du “droit” à un salaire minimum… et les devoirs en parle-t-on ? Peu, ou pas !

    Bien évidemment, la situation des indignés n’est pas de leur fait unique. Les gouvernements ont jetés ces gens dans la rue et cela peut nous arriver à tous ? Enfin, en est-on sûr ? Car en fin de compte, est-ce aux gouvernements de fournir du travail à ses citoyens ? Dans un régime communiste oui, dans un régime libéral non. Donc c’est la faute du libéralisme ! Certes, mais au même moment, certains s’enrichissent grassement dans les régimes libéraux et je ne parle pas que des financiers. Il y a des commerçants et des industriels qui s’enrichissent. Oui me direz-vous, mais la richesse est mal répartie.

    Il est clair que dans nos régimes libéraux actuels la richesse est mal répartie, mais moins mal que la pauvreté dans les régimes communistes. Tout le monde sait maintenant que c’est l’incurie de nos dirigeants qui a propulsé nos économies là où elles sont, en raison de la cupidité des spéculateurs. La spéculation a raison de l’économie. Alors que faire ? Descendre dans la rue et attendre que les gouvernements réagissent ? Manifester et faire tomber les gouvernements ? Ou nous regarder dans un miroir et nous demander comment contribuer à sortir du marasme.

    Une chose est certaine, que l’on blâme la finance, la globalisation, la Chine, les volcans, le réchauffement climatique, rien n’y changera. Nos gouvernements sont en quasi faillite. Avec l’injection massive de liquidités par les banques centrales, les monnaies perdent de la valeur tous les jours, il n’y a donc RIEN à attendre des gouvernements pour aider leur citoyen. Résultat? On n’a le droit à rien ! Si on ne prend pas conscience de cela, les déconvenues sont devant nous !

    Voilà bien un sombre futur me direz-vous ? Non, répondrai-je ! Comme le dit l’adage, Aide-toi et le ciel t’aidera ! Commençons par aider nos enfants à comprendre que leur salut ne vient pas des états mais bien d’eux-mêmes. Mon père qui travaille encore à 72 ans (non par besoin financier, mais par envie) me répétait, quand j’étais gamin : l’argent ne se trouve pas sous les sabots d’un cheval ! Sa manière à lui de me faire comprendre que c’est par l’effort qu’on arrive. Et que sans effort, il n’y a pas d’accomplissement.

    Alors, oui, arrêtons de nous indigner et commençons à travailler ! Nous n’avons pas de droit, que des devoirs ! Nous devons construire un monde meilleur, nous-même !