Auteur/autrice : marc

  • Optimiste, pessimiste, réaliste or entrepreneur-iste?Optimist, pessimist, realist or entrepreneur-ist?

    Optimiste, pessimiste, réaliste or entrepreneur-iste?Optimist, pessimist, realist or entrepreneur-ist?

    J’aime les néologismes. Ils démontrent l’ouverture et la vitalité d’une langue. Celui du titre ne vaut que pour la rime. Il m’a été inspiré par un courrier électronique reçu il y a quelques : pendant qu’un optimiste, un pessimiste et un réaliste débattaient pout savoir si le verre était à moitié vide ou à moitié plein, l’entrepreneur-iste avait vendu le verre. Au-delà de l’ironie de la situation, cette histoire met en résonance cette citation de Robin Sharma : la plus petite des actions est toujours préférable à la plus noble des intentions.

    Voici une des clés du succès : Il n’est pas possible d’avoir du succès si vous n’agissez pas, quelle que soit votre définition du succès. Regardez autour de vous. Vous verrez des dizaines de personnes qui ont du succès : personnel, professionnel, spirituel, social, familial, financier… Elles ont toutes un point commun : elles ont agi !

    J’utilise depuis des années une méthode simple en trois étapes, facilement mémorisable : PAR – Plan, Action, Réflexion. Si vous jouez au golf, vous n’aurez pas de problème à vous souvenir du par. Pour les autres, vous pouvez vous dire que la route du succès, c’est PARti !

    Plan

    Si vous échouez à planifier, vous planifiez d’échouer. Simple mantra facilement mémorisable. Que voulez-vous faire/être ? Que devez-vous faire pour atteindre vos objectifs ? Comment y arriver ? Toutes ces questions appellent réponses. Ces dernières vous permettront de construire votre plan d’actions. Un point important à considérer : votre plan n’est pas gravé dans le marbre. Il changera au fil du temps, et jouera le rôle de carte.

    Action

    Vous devez mettre votre plan à exécution. Une étape après l’autre. Les choses vont généralement plus lentement que prévu. C’est une réalité. Des erreurs sont faites, des obstacles imprévus surgissent et des fournisseurs ne livrent pas à la date promise. Tenez en compte. Soyez souple et mettez votre plan à jour. Le changement est naturel.

    Réflexion

    Analysez toujours ce qui s’est passé, que ce soit bon ou mauvais. Quels ont été vos succès ? De quoi êtes-vous fier ? Qu’auriez-vous pu faire différemment ? Qu’avez-vous appris ? À qui avez-vous fait confiance et qui vous a surpris ou déçu ? Quelles erreurs auriez-vous pu éviter ? L’analyse post-mortem est essentielle car elle permet de documenter votre expérience et de construire votre expertise.

    Cela semble simple et ça l’est ! Ce qui ne l’est pas est l’exécution. Rome n’a pas été construite en un jour. Les seules personnes qui ne font pas d’erreur sont celles qui ne font rien. Alors, faites des erreurs, arrêtez de parler et agissez ! Réveillez l’entrepreneur-iste qui sommeille en chacun d’entre nous.I love neologism, it shows vitality of a language. The one in the title exists only for the rhyme. It was inspired by an email I received today: while optimists, pessimists and realists debated over the half-full or half-empty glass, the entrepreneur-ist had sold the glass. And beyond the irony of the situation, it resonates to a quote from Robin Sharma: The smallest of actions is always better than the noblest of intentions.

    This is one of the keys of success in life. You cannot be successful if you do not act upon what moves you, whatever your definition of success. Look around you. You will see dozens of successful people. Success in their personal, professional, spiritual, social, family, financial life, etc. They have one thing in common: they have taken a leap of faith in acting.

    I came with a simple 3 step method to move forward on the path to success. It came to me inspired by a once craze device: PDA, Personal Device Assistant. These were the ancestor of our modern smartphones. Palm pilots users will remember how cool that was. However, my PDA today is Plan-Do-Analyze.

    Plan

    If you fail to plan, you plan to fail. Simple mantra and easy to remember. What do you want to do? By when? With whom? What do you need to achieve your goal? How can you get them? All are the question you need to answer to create your plan of actions. One important thing: your plan is not engraved in marble, it will change over time, it will be your map.

    Do

    You need to act on your plan. One step after the other. Generally, things go slower than you would like. It’s a fact. Mistakes happen, unforeseen obstacles emerge, and vendors do not deliver on time. These are facts of life. Take this into consideration, be flexible and update your plan along the way. Change is inevitable.

    Analyze

    Always take a look at what happened, good or bad. What were your successes? What should you be proud of? What could you have done differently? What did you learn? Who did you trust who delivered and who did not deliver? What mistakes could you have avoided? Post mortem analyze is critical because this a way to document your experience and to be able to build your expertise.

    This seems simple and it is simple actually. What is not simple is execution. Remember, Rome was not built in a day and the only persons who never make mistakes are the one who never take action. So do, make mistake, stop talking, and start doing. Wake up the entrepreneur-ist who sleeps in each of us!

  • Mon TEDx talkMy TEDx talk

    Mon TEDx talkMy TEDx talk

    Je m’aperçois que je n’ai jamais publié mon TEDx talk sur mon blog. Voici l’erreur corrigée.

    Merci de vos commentaires.I just realized I did not publicized my TEDx talk on my blog. Here it is then.

     

     

    Thanks to leave me a comment.

  • 7 astuces tirées de TEDx : comment faire des discours incroyables (et déclencher une Standing Ovation)7 TEDx Hacks: a Cheat Sheet to Delivering Awesome Speeches (and get Standing Ovations)

    7 astuces tirées de TEDx : comment faire des discours incroyables (et déclencher une Standing Ovation)7 TEDx Hacks: a Cheat Sheet to Delivering Awesome Speeches (and get Standing Ovations)

    TED est une conférence des plus connues de notre planète bleue. Créée il y a trente ans (la première édition eut lieu en 1984), TED attire les conférenciers et les penseurs du monde entier. Afin de permettre aux personnes à l’extérieur des Etats-Unis d’y assister, TED a engendré des conférences sous licence, appelées TEDx, en 2009.

    Le premier TEDx Maurice s’est tenu fin janvier avec cinq conférenciers, dont le champion olympique Chad le Clos, le musicien mauricien José Thérèse et moi-même. Tout en étant un honneur, faire un discours à TEDx est très prenant. Il y a cependant 7 astuces qui m’ont aidé dans ma préparation. Les voici donc, prêtes à l’usage pour un discours public ou pour présenter vos idées pendant votre prochaine réunion.

    1. L’audience, l’audience, l’audience ! Parlez pour votre public, pas pour vous-même. La seule chose que veut savoir un public est ce qu’il va en tirer personnellement. Prenez en compte à qui vous vous adressez et surtout de comment chaque personne du public va profiter de votre discours.
    2. Coupez, coupez, coupez ! Partez avec un principe simple : vous serez trop long. Quand vous préparez votre discours, coupez votre premier jet en deux, puis le second d’un bon tiers. Vous serez alors sans doute un tout petit peu trop long !
    3. Simplifiez, simplifiez, simplifiez ! Laissez Supercalifragilisticexpialidocious à Mary Poppins et le jargon aux textes imprimés. Alors que vous écrivez votre texte, contentez-vous d’idées et de mots simples. Votre audience est votre guide. Elle en sait moins que vous, inutile de l’abandonner avec des concepts complexes.
    4. Des histoires, des histoires, des histoires ! Racontez des histoires ! Pas des histoires extraordinaires, des petites histoires familières, comme se plaît à les décrire Douglas Kruger, 5 fois élu meilleur conférencier d’Afrique australe (www.douglaskruger.co.za). Les histoires transmettent des valeurs et illustrent à merveille vos propos.
    5. Personnel, personnel, personnel ! Soyez personnel ! Parlez de vous, pas pour frimer, mais pour partager votre expérience tout en étant authentique. Ce qui vous est arrivé peut arriver à tout le monde, offrez donc votre expérience. C’est un moyen superbe de mettre des sentiments sur la table sans être larmoyant.
    6. L’espace, l’espace, l’espace ! Si vous devez parler sur une scène, servez-vous de tout l’espace. La vie c’est le mouvement. Votre corps parle et la communication non-verbale est aussi importante, si ce n’est plus, que la communication verbale. Bougez, courrez, sautez, observez, vous êtes vivant !
    7. Répétez, répétez, répétez ! Il n’existe aucun meilleur moyen de se préparer que de répéter. Beaucoup ? Autant que vous le pouvez ! Personnellement, je répète mes discours de compétition au moins 28 fois. C’est mon chiffre porte-bonheur.

    Un bon discours nécessite du travail. Un grand discours nécessite beaucoup de travail. La bonne nouvelle est tout un chacun peut apprendre les techniques nécessaires. Lancez-vous ! Ressentez l’excitation d’être sur scène. Après la chute libre et l’amour, il n’est pas de meilleure sensation.TED is one of the most famous conferences happening on our little planet. Created thirty years ago (the first conference took place in 1984), it attracts the best speakers and thinkers worldwide. To have people beyond the US to attend these talks, TED has spun off into local events named TEDx, in 2009.

    The first Mauritius TEDx event took place last January and gathered five speakers, including Olympic champion Chad le Clos, musician José Thérèse and myself. Although an honor, delivering a talk at TEDx is taxing. However, there are 7 basic tips that helped tremendously in my preparation. Here is therefore a cheat sheet that can be used for a public speech or for presenting your ideas during a next meeting.

    1. Audience, audience, audience: speak for your audience, not for yourself. The first thing anybody wants to know is: What’s In It For Me! Consider who you are talking to and how each member of the audience will benefit from what you say.
    2. Cut, cut, cut: start with a simple principle, you are always too long. Go to the point quickly. When you prepare your speech, cut in half the first draft, and a good one third of the second draft. And you may even be too long.
    3. Simplify, simplify, simplify: leave Supercalifragilisticexpialidocious to Marry Poppins and jargon to written papers. While writing your text, use simple ideas and words. Your audience should guide you, it knows less than you but do not alienate it by using complex concepts.
    4. Stories, stories, stories: tell stories. Not long or extraordinary ones, but “small close to home” ones as describes Douglas Kruger, the 5 times best Southern Africa public speaker (www.douglaskruger.co.za). Stories carry value and illustrate the points you want to make beautifully.
    5. Personal, personal, personal: make it personal. Talk about yourself, not to brag, but to share your experience while being authentic. What happened to you can happen to anybody, so allow others to learn from your own life. It’s a great way to put some feelings on the table without being phony.
    6. Space, space, space: if you happen to speak on a stage, use the whole space. Life is movement. Your body speaks and non-verbal communication is as important, if not more, as verbal one. Move, run, jump, look around, you’re alive!
    7. Rehearse, rehearse, rehearse: there is no better way to get prepared than to repeat. How much? As much as you can, too much does not exist. Personally, I rehearse my contest speeches at least 28 times. It’s my magic number.

    A good speech requires some work, a great speech requires hard work. The good news is anybody can learn the required skills. Jump and do it! Feel the exhilaration of being on stage, after skydiving and love, there is no better feeling.

  • L’étonnante vérité sur l’urgenceThe shocking truth about urgency

    L’étonnante vérité sur l’urgenceThe shocking truth about urgency

    « Philippe, traitez ce dossier de toute urgence ! Isabelle, il y a urgence avec ce client ! Vincent, venez me voir, c’est urgent ! » Nous avons tous entendu ou prononcé ces phrases. L’urgence frappe tous les jours. Les médecins, les pilotes, les pompiers et de nombreux professionnels font face à l’urgence au quotidien et doivent agir rapidement. Cependant, nous sommes tous confrontés, dans nos vies personnelles et professionnelles à des contraintes et des dates limites.

    J’ai toujours été impressionné par l’urgence d’agir. Savoir est insuffisant, nous devons appliquer. Vouloir est insuffisant, nous devons agir. Léonard de Vinci

    Un de mes amis, pilote de ligne, avec des dizaines de milliers d’heure de vol, m’a raconté une histoire sur l’urgence dans un cockpit. Il est facile d’imaginer que cela requiert une attention immédiate. Cependant, la première chose qu’un de ses instructeurs faisait dès qu’une alarme retentissait était d’appeler l’hôtesse ou le steward pour lui demander un café.

    Commencez par réfléchir

    En demandant un café, ce pilote s’autorisait à mettre ses idées en ordre afin d’analyser sereinement la situation et de ne pas céder à la panique. Une étude de 2003 du département de psychologie de l’université du Missouri a démontré que la qualité des résultats produit sous une contrainte d’urgence était systématiquement moindre que celle de ceux produits sans cette contrainte. Travailler dans l’urgence a donc tendance à produire des résultats inférieurs.

    Le premier point important concernant l’urgence est de commencer par réfléchir à l’urgence de la situation et de ne pas céder à la panique. La panique a des conséquences désastreuses. Il convient de penser rapidement et d’élaborer les principaux scénarios possibles. Puis, comme Léonard de Vinci le disait, nous devons agir. Et là, il ne s’agit pas de précipitation, mais de vitesse, ou plutôt de vélocité.

    La vélocité, pas la vitesse

    Vous vous demandez peut-être quelle est la différence entre vitesse et vélocité. Un physicien vous dirait que la vélocité, aussi appelé vecteur-vitesse, « combine la notion de vitesse et celle de direction d’un mouvement, par opposition à la vitesse, qui ne comprend pas la direction. » (Définition Wikipédia). Et la différence est cruciale dans notre cas. La vélocité est la vitesse et la direction. Et le point important ici concerne la direction.

    Dans une interview pour inc.com, le professeur de la Harvard Business School John Kotter, auteur de A sense of urgency, décrit ce qu’un leader devrait dire à ses employés : « Je veux que vous regardiez vos calendriers. Tout ce qui ne fait pas avancer clairement la société, annulez-le ! »

    Il est ici question de direction, pas d’activités frénétiques. Le leader ne dit pas : « Je veux que vous en fassiez plus et plus rapidement ». Il ne veut pas que ces employés soient occupés, mais produisent des résultats, tout en instillant un certain sens d’urgence nécessaire à une organisation qui réussit.

    L’urgence doit consister à agir rapidement dans un but précis

    L’urgence ne consiste donc pas à agir rapidement en mode panique. Il s’agit de la mauvaise urgence. La bonne urgence consiste à prendre le temps de comprendre ce que nous souhaitons réaliser, puis à agir rapidement dans cette direction. Parce qu’au final, il ne faut surtout pas confondre vitesse et précipitation !“Ashley, please treat this as urgent! Isabelle, there is an urgency with this customer! Vincent, come to my office; it’s urgent!” Those are sentences you may have already heard or delivered. Urgency strikes every day. Doctors, pilots, firemen, and many professionals have to face urgent situations at times that require quick actions. However, all of us, in our daily lives, have sometimes to work under constraints and deadlines.

    I have been impressed with the urgency of doing. Knowing is not enough; we must apply. Being willing is not enough; we must do. – Leonardo da Vinci

    A friend of mine, commercial airline pilot with tens of thousands of hours of flight time told me a story about dealing with urgency in the cockpit. We tend to think this requires immediate attention, and this is right in most of times. However, the first thing one of his instructors was doing when an alarm sounded was to call the hostess to bring him a coffee.

    Start thinking

    And the reason behind the pilot asking for a coffee was to regroup his ideas in order to analyze the situation and not go into panic mode. A 2003 research study from the Department of Psychology of the Missouri Western State University showed that quality of results produced under time urgency was consistently less than those with no urgent deadline. So working under urgency tends to lead to inferior results.

    The first important point on urgency is to start thinking about the urgency of the situation and not enter into panic mode. Panic has disastrous consequences. So we should start thinking fast and elaborate possible scenarios. Then, as Leonardo da Vinci said above; we need to start doing. And here, it’s not about speed of action but about velocity.

    Velocity, not speed

    You may ask, what the difference between speed and velocity is. Well a physicist will tell you that velocity is speed plus direction. And this is a crucial difference. Let me repeat: velocity is speed plus direction. The important point is direction.

    In an interview with inc.com, Harvard Business School professor John Kotter, author of A sense of urgency, told what leaders should tell their employees regarding urgency: « I want everyone to look at your calendars. What’s on there that doesn’t clearly move us forward? Get rid of it! »

    There is a clear indication of direction, not of frantic activities. The leader does not say: “I want everyone to do more, to act fast”. She does not want her employees to do busy-ness, she wants to deliver results fast and instill this sense of urgency that is required to create a successful organization.

    Urgency leads to acting fast with a purpose

    So urgency is not about acting fast in panic mode, as if nothing else mattered. This is bad, or false, urgency. The good, or true, urgency is about taking the time to understand what we want to achieve and then to act fast in the right direction. Because in the end, more haste, less speed!

  • Juste une idée… un vendrediJust a thought… on a Friday

    Juste une idée… un vendrediJust a thought… on a Friday

    Je viens de finir deux livres en apparence très différents (pas cherché s’ils existaient en français) : The Challenger Sale: Taking Control of the Customer Conversation et The Icarus Deception: How High Will You Fly?  Ces livres, fondamentalement différents et sur des sujets différents, ont un point commun essentiel qui m’a interpellé (d’où ce billet que je partage avec vous) : la zone de confort a bougé et il est temps de bouger, car ce sont ceux qui bougent et font bouger les lignes qui gagnent ! Oui, le monde a changé, la globalisation est source de tous les maux, dans l’ancien temps tout était plus facile, toutes ces choses qu’une majorité répète à longueur de journée ne servent à rien. On ne revient pas en arrière, on avance vers le futur, en plus à vitesse supersonique!

    En fait, cette période ouvre de vastes portes à de gigantesques opportunités, et nous devrions nous réjouir. La seule chose que nous devons faire est d’agir afin de sortir de ce qui nous semble être notre zone de confort, avec un grand sourire. Avez-vous peur ? Moi, j’ai peur. Mais pas au point d’être paralysé et de regarder autrui s’emparer des opportunités qui se présentent. Le monde appartient à ceux qui agissent. Alors ce week-end, au lieu de regarder la télé, prenez une heure ou deux pour réfléchir à ce qu’est votre zone de confort et de là où vous souhaitez être dans un, trois, cinq ou dix ans. Puis après avoir laissé mariner pendant un jour ou deux, dimanche soir prenez la décision de sortir de votre zone de confort et agissez. Le monde a changé, il est temps de changer !I just read two very different very insightful books: The Challenger Sale: Taking Control of the Customer Conversation and The Icarus Deception: How High Will You Fly? Although both books are dramatically different on what appear to be different topics, they have a common ground: the comfort zone has moved, and you should move too, because those who move and make things move win in the end! Yeah, we heard the world has changed, globalization is the root of all evil, ol’ times were goo’ times, and all this BS naysayers keep repeating is useless. The past is the past, it will never come back. We are heading to the future, at full steam!

    Actually, this era is opening a wide door of massive opportunities and we should be happy about them. The only thing we need to do is to take action, step outside of our comfort zone and embrace change with a huge smile on our face. Are you scared? I am. But not to a point to stand still and watch others grasping the opportunities. The world belongs to those who take action. So this week-end, instead of watching stupid TV, take a moment to relax, think about what makes your comfort zone and where you want to be in one, three, five or ten years. Then after giving this a thought the whole week-end, on Sunday evening commit to step out and take action. The world is changing, and so should you!