Auteur/autrice : marc

  • Jour -7Day -7

    Un jour, une idée à partager, c’est ma nouvelle rubrique quotidienne à partir d’aujourd’hui. Une idée qui m’est venue comme ça et que j’ai trouvée intéressante. Il s’agit de partager avec vous en un paragraphe l’idée du jour. Des idées j’en ai des dizaines par jour. Cette rubrique sera en moyen d’en capturer une. Normalement, si je tiens le rythme, cela devrait faire 365 idées à la fin de l’année. Un beau challenge en perspective. Non que cela devrait me prendre beaucoup de temps, mais je vais devoir me discipliner pour publier tous les jours. La suite demain. Dites-moi ce que vous en pensez en adjutant un commentaire.One Day, one idea to share. It’s my new daily post as from now. An idea I had and I found interesting. It’s just sharing an idea with you, in one paragraph. I have dozens ideas every day. This post will be a way go capture at least one. If I keep the pace, I will have 365 ideas next year at the same period. A nice challenge! It’s not a matter of time but of self-discipline, to post every day. See you tomorrow. Do not hesitate to add a comment to share what you think about this.

  • Les 7 leçons de leadership de NoëlThe 7 leadership lessons of Christmas

    Les 7 leçons de leadership de NoëlThe 7 leadership lessons of Christmas

    J’ai traité du leadership sous plusieurs angles et ai rappelé que le leadership n’a rien à voir avec la frime ou avec le fait d’être interviewé à la télé : le leadership est uniquement une histoire de résultat. Nelson Mandela s’en est allé, mais a laissé au monde une simple et important leçon : croyez en votre vision et agissez sans relâche pour l’atteindre. Il a promis et a libéré son pays de l’apartheid.

    A cette époque de l’année, le père Noël s’apprête à remplir le sapin de milliards de personnes de cadeaux. Noël est une saison intéressante. A l’origine, fête chrétienne, elle s’est transformée au fil des ans en une foire commerciale. Cependant, elle continue à nous enseigner d’importantes leçons de leadership.

    1. Préparez-vous

    Noël demande des préparatifs. Il obéit aussi à des rites passés de génération en génération. Si vous voulez que Noël soit une fête, vous devez vous organiser pour préparer le repas, acheter et emballer les cadeaux, faire le sapin, etc. Les résultats ne surviennent pas par hasard, ils sont le résultat d’une bonne planification. Les leaders passent beaucoup de temps à se préparer, à garantir que toutes les opérations sont en place et alignées pour obtenir les meilleurs résultats possibles.

    2. Livrez à l’heure

    Noël est célébré le 25 décembre. Ce n’est pas la veille et pas non plus le lendemain. Si vous vous êtes engagés sur une date, tenez-vous-y ! C’est votre promesse. D’ailleurs, voici un petit rappel sur le côté critique de la définition de la promesse. Définir la date est un élément essentiel de la préparation. Respecter cette date n’est pas négociables. Les grands leaders font toujours tout ce qu’ils peuvent pour respecter leurs engagements de date.

    3. La qualité prime sur la quantité

    Quand les Rois mages ont trouvé Jésus à Bethléem, ils lui offrirent des cadeaux précieux : de l’or, de l’encens et de la myrrhe. La qualité primait sur la quantité. La qualité crée une différence importante et se retrouve dans des détails qui peuvent sembler insignifiant : les remerciements que vous adressez, les bougies sur la table, l’étiquette manuscrite sur un cadeau, etc. Un grand leader promet toujours peu et délivre beaucoup. Il s’agit du meilleur moyen de surprendre vos hôtes et de laisser des souvenirs ineffables.

    4. Montrez votre reconnaissance

    A Noël, vous offrez et recevez des cadeaux. Remerciez chacun pour ses cadeaux. L’échange de cadeaux est devenu normal à Noël, mais chaque personne a passé du temps et a fait des efforts dans le choix de ceux-ci. Remerciez-les du fond du cœur. Un leader ne réussit pas seul. Prenez toujours le temps de remercier vos collaborateurs et clients, et offrez-leur votre reconnaissance. En public, mais aussi en privé. On ne remercie jamais trop !

    5. Soyez attentionné

    Noël est la célébration d’une naissance. Un bébé a besoin d’attention. Tout un chacun aussi et Noël est un moment privilégié pour repenser à comment vous portez attention aux gens. Cela peut être le moment de refaire surgir une relation oublié depuis longtemps. Un leader est attentionné avec ses collaborateurs. Il connait leurs problèmes, leurs moments de doute et sait offrir de l’aide quand et si nécessaire. Vous ne pouvez pas diriger seul !

    6. Ayez une attitude positive

    Noël est une fête joyeuse. Donner naissance à un enfant est faire une promesse de futur. Vous ne pouvez pas être triste à Noël. Souriez, riez et réjouissez-vous ! La vie est belle. Un leader voit le positif dans toute chose et en toute personne. Il ne voit pas les échecs comme des choses négatives mais comme des expériences d’apprendre. Une pièce a deux faces. Un leader voit le positif et tourne le dos au négatif.

    7. Prenez des risques

    Quand Joseph et Marie décidèrent du voyage à Bethléem, ils prirent un risque, Marie étant enceinte. Ce voyage a changé leur vie et celle du monde. Un leader n’accepte pas le status quo. Il sait que la croissance nécessite une prise de risque. Il utilisera ses forces pour réduire le risque au minimun, tout en ne pouvant les éliminer à cent pourcents. Le changement ne survient que quand les zones de confort sont étendues.

    Noël est un moment intéressant, et même si son côté païen a pris le pas sur le religieux, ses leçons ont survécu à l’épreuve du temps. Noël revient tous les ans pour nous rappeler que le leadership est un voyage. Vous n’arrivez jamais à destination, vous marchez toujours, car il y a toujours quelque chose à apprendre.I covered the topic of leadership from many angles in previous articles and reminded you that leadership is not about showing off and speaking on TV; leadership is about delivering results. Nelson Mandela is now gone, but he left the world with a simple and grand lesson: believe in your vision and act upon it relentlessly. He promised and delivered a country freed of the infamous apartheid.

    At this time of the year, for billions of people, Santa Claus will deliver the goods: presents to friends, family and neighbors. Christmas is an interesting season. A Christian holiday (holly day) transformed into a shopping frenzy. However it teaches us seven important leadership lessons.

    1. Get prepared

    There is a lot of preparation to Christmas. It obeys to rituals. If you want Christmas to be the festivity you expect, you need to plan and prepare the meals, the gifts, etc. Delivering results does not happen, it is planned. Leaders spend an incredible amount of time in preparation, ensuring all operations are aligned to deliver the best possible results.

    2. Deliver on time

    Christmas happens on the 25th of December. It’s not one or two days later. If you committed to a date, deliver on that date. This is the expectation, and a clear reminder that expectation setting is critical. Setting the date is an important part of the preparation. Delivering on the date is a non-negotiable. Great leaders always do whatever is needed to respect their time commitment!

    3. Quality over quantity

    When the Wise-men found Jesus in Bethlehem, they offered him high quality gifts: gold, frankincense and myrrh. Quality transpires into the whole day. Quality creates a major difference, and lies into tiny details: the thank you you will say unexpectedly, the candles on the dinner table, the beautiful tag on the gift. A great leader always under promises and over delivers. This is the best way to positively surprise people and leave lasting memories.

    4. Show gratitude

    On Christmas, you give gifts and you receive gifts. Thank everybody for their presents. Yes, gift giving has become normal at Christmas, but each person who offered you presents put time and effort. Thank them deep from your heart. A leader does not succeed alone. Always take time to thank people and show them gratitude. In public and also in private discussions. You will never thank too much.

    5. Caring

    Christmas is the celebration of a birth. A baby needs care, but every people deserves care as well and Christmas is the right time to rethink how you care about people. It’s the right time to put back on the agenda the revival of long forgotten relationship. A great leader cares about her people. She knows their challenges, their hard times and give a helping hand whenever needed. You cannot lead alone!

    6. Positive attitude

    Christmas is a joyful day. Giving birth is putting hope in the future. You cannot be gloomy on Christmas day. Smile, laugh, and rejoice! Life is beautiful. A leader sees the positive in things and people. He does not see setbacks as negative occurrences but as learning experiences. There is always two sides to a coin. A leader sees the positive and turns her back to the negative.

    7. Take risks

    When Joseph and Mary decided on their trip to Bethlehem, they took immense risks because Mary was pregnant. This trip changed their life and the world. A leader does not accept status quo. He knows that growth requires to take some risks. He will use all his strengths to reduce the risks to the minimum, but he cannot prevent 100% of those. Change only occurs when comfort zones are pushed.

    Christmas is an interesting time, and even though shopping has become what seems the center, its lessons have survived and still stand the test of time. Christmas comes every year to remind us leadership is a journey. You never arrive, you continue forward, because there’s always something to learn.

  • Innovez ou disparaissez – Innovate or die

    Innovez ou disparaissez – Innovate or die

    Certes, certaines choses ne changent pas (la Terre tourne toujours autour du soleil). Cependant, l’innovation est nécessaire pour laisser la compétition à la porte. Quelque métier que vous fassiez, quelque sujet que vous étudiez, l’innovation est l’avantage compétitif ultime.

    Prenons l’exemple de l’automobile. Depuis la toute première voiture, elles se sont améliorées grâce à l’innovation : sécurité, durabilité, consommation d’essence ou confort. Une voiture d’entrée de gamme aujourd’hui est bien plus confortable et sûre qu’une voiture haut de gamme il y a vingt ou trente ans. Les fabricants d’automobiles passent leur temps à innover.

    Nous ne réalisons généralement pas de la quantité d’intelligence nécessitée par l’innovation. Parfois, ce qui semble une toute petite innovation, œuvre d’un génie solitaire, améliore grandement une technologie ou le sort de l’humanité. Prenez par exemple l’ampoule à incandescence qui a éclairé le monde pendant des années. Cependant, les innovations modernes requièrent souvent des équipes de docteurs ès science et des budgets conséquents. Mais les faits sont là : les organisations qui croissent sont celles qui innovent et se servent de l’innovation comme moteur de leur croissance.

    Regardez votre organisation ! N’y a-t-il pas des choses que vous faites depuis des années qui auraient besoin d’un bon coup de jeune ? Tous vos produits ou services ont-ils été créés il y a plusieurs années et n’ont pas été renouvelés ? Voyez-vous d’autres organisations ou entreprises croitre plus vite que vous ? De nombreuses organisations pensent qu’elles n’ont pas besoin d’innover car elles ont été créées il y a longtemps, ont des avantages uniques ou un monopole. Le fait est que la concurrence survient toujours alors qu’on ne l’attend pas. Si vous n’êtes pas prêt à innover, préparez-vous à disparaitre !

    Toastmasters, en tant qu’association, est en mutation constante. L’apprentissage par l’action et les évaluations positives ne changent pas, car ils sont au cœur de notre concept éducatif. Cependant, nous changeons le comité de direction tous les ans, afin d’apporter de nouvelles idées au club et à sa gestion. Au plus haut niveau de l’organisation, le président dédie une partie de son temps et de son énergie à une innovation apportée aux clubs. Ceci est une des raisons de la longévité de Toastmasters il me semble. Ne pensez pas qu’une ONG n’a pas besoin d’innover. En fait, l’innovation y est plus importante que dans une société commerciale ou publiques : nous ne vendons pas de produits, mais avons de membres à recruter et à ravir !

    Enfin, l’innovation est excitante. Elle apporte de la nouveauté et attire les meilleurs talents. Qui veut travailler pour une entreprise poussiéreuse ? Dans le monde d’aujourd’hui, l’innovation est le facteur de progrès le plus important. Il n’est jamais trop tard pour innover. Mais si vous attendez trop longtemps, cela risque de vous couter plus cher !

    If it’s true there are things that do not change (Earth rotates around the Sun for instance), innovation is much needed to keep competition behind. Whatever job you do, whatever topic you study, innovation is the ultimate competitive advantage.

    Take the example of cars. Since the first car has been produced, cars have constantly been improved by innovation. Whether in safety, durability, fuel consumption or just comfort. A modern entry level car is far more comfortable than an expensive car from twenty or thirty years ago. Car manufacturers are constantly innovating.

    Sometimes, we do not realize how much intelligence goes into innovation. Sometimes a tiny invention by a genius improves greatly a technology or the wellbeing of mankind. Take the electric incandescence bulb for instance who ruled lighting for years. But in general, innovation requires a team of talented PhD and some serious budget. But the fact is here, companies or organizations who make quantum leaps and grow, are those who innovate and use innovation has the engine for growth.

    Look at your business, company or organization. Aren’t there things you have been doing for years that would need to be freshen up? Are all your products or services been created years ago and not been renewed? Are you seeing other organizations, departments or competitors growing faster or get bigger budgets? Lots of organizations feel they do not need to innovate because they have been established long ago, have some unique competitive advantage or some kind of monopoly. The fact is competition never happens when you expect it. And if you are not prepared to innovate, you get ready to die.

    Toastmasters, as a non-profit organization, is constantly innovating. Sure, learning by doing and positive evaluation have not change and will probably not change, because there are at the core of our learning concept. But the fact that we are changing the executive committee every year brings fresh ideas and new concepts to club meetings and management. At the highest level, the organization president always dedicate part of his or her energy to one specific innovation. This is, I feel, one of the reasons of Toastmasters longevity. Do not think that because it’s a NGO it does need to innovate. Actually, it’s even more important than for a for-profit organization, because we do not have products to sell but members to recruit and delight.

    Finally, innovation is exhilarating. Because it brings novelty, it attracts the best talents. Who wants to work for a laggard? In today’s world, innovation is the most important factor of progress and key competitive differentiator. It’s never too late to start innovating. But if you wait too long, it may cost more!

  • La queue du chien et la queue du chat – The dog tail and the cat tail

    La queue du chien et la queue du chat – The dog tail and the cat tail

    Quand un chien remue-t-il la queue ? Quand il est heureux ! Quand un chat remue-t-il la queue ? Quand il se méfie. Alors, imaginez un chien qui n’a jamais vu de chat qui lui-même n’a jamais vue de chien. Il voit un chat pour la première fois. Pour lui, ce dernier ressemble à une petite version de lui-même et bien qu’il ne parle pas la même langue, aux mouvements de sa queue, il interprète que le chat est heureux. Alors il s’avance en remuant lui aussi la queue. Le chat, qui n’a jamais vu de chien, et qui trouve qu’il ressemble en peu à cet animal plus grand que lui et remuant sa queue, se met alors à remuer sa propre queue car il interprète le mouvement du chien comme étant une agression. Puis, lorsque le chien se met à venir vers lui, le chat est prêt  à attaquer.

    C’est souvent comme cela que toute dispute commence. Dans le monde des humains, cela arrive tous les jours. Les gens s’énervent, non pas nécessairement parce qu’ils ne s’acceptent pas, mais parce qu’ils interprètent mal certains signaux émis. Au travail, cela peut conduire à des malentendus, des retards dans les projets et même à des démissions. Vous pouvez toutefois résoudre la plupart des situations conflictuelles en suivant trois étapes simples: 1. Respect, 2. Ecoute et 3. Parole.

    Respect

    Il ne peut y avoir un travail constructif sans respect ; prenant en compte la perspective de l’autre partie ; écartant notre couche culturelle pour éviter toute interprétation erronée. Il est rare d’avoir volontairement des situations de gagnant-perdant. Si vous travaillez sur un projet spécial impliquant plusieurs départements de votre entreprise, négociez un accord important avec un client ou demandez une augmentation, respectez votre interlocuteur !

    Cela peut parfois s’avérer difficile. Il existe des situations où les sentiments obscurcissent le jugement. Prenez comme règle générale qu’aucune situation gagnant-gagnant ne peut arriver sans respect. Le respect fonctionne dans les deux sens : respect de l’autre partie et respect de vos engagements. Rien n’est pire que la rupture d’une promesse.

    Ecoute

    Avec le respect vient l’écoute. C’est une des compétences les plus importantes du leadership. J’ai déjà écrit sur le besoin d’écouter avec fascination. L’écoute sans interruption et jugement témoigne du respect et est nécessaire pour comprendre le point de vue complet de l’autre. Il y a un vieux dicton qui dit que comme nous avons deux oreilles et une seule bouche, nous avons besoin d’écouter deux fois plus que de parler.

    Vous pouvez prendre des notes pendant que vos interlocuteurs parlent. Mais n’oubliez pas de leur signifier que vous l’écouter en hochant la tête de temps en temps, en les regardant droit dans les yeux et en les invitant ainsi à parler librement. Mettre en évidence une rétroaction visuelle est primordiale.

    Parole

    Puis vient le temps de la parole. Vous ne pourrez pas convaincre quelqu’un de quelque chose si vous n’avez pas fait au préalable preuve de respect et d’écoute. Vous pouvez alors prendre la parole pour exprimer votre point de vue, pour poser des questions et pour partager vos arguments. Questionnez votre interlocuteur ! Essayez d’aller en profondeur et de subtilement faire passer votre point de vue dans la conversation.

    N’oubliez pas la queue du chat et la queue du chien : des repères différents peuvent avoir des significations différentes. Cependant, notre pouvoir sur les animaux est la capacité d’écoute et de parole. Si vous respectez, écoutez et parlez, dans cet ordre, avec enthousiasme et fascination, vous pouvez résoudre toute situation tendue ou conflictuelleWhen does a dog wag its tail? When it’s happy! When does a cat wag its tail? When he’s wary. So imagine a dog who never saw a cat. It looks at the cat, which look like a small version of itself and although does not speak the same language, by the move of its tail, it interprets the cat’s happy. So it comes forward wagging its own tail. The cat, who never saw a dog, looks suspiciously at this animal larger than itself, wagging its tail, and starts wagging its own because it interprets the dog’s move as an aggression. Then when the dog goes forward in confidence, the cat is ready and decides to attack.

    This is how a fight starts. In the human world, this happens every day. People get angry at each other, not because they do not agree with each other, but because they interpret wrongly signals. In the workplace, this can lead to misunderstanding, delays in projects and even resignation. You can however, solve most of conflicting situations by following three simple steps: 1. Respect, 2. Listen, and 3. Talk.

    Respect

    There cannot be constructive work without respect; respecting the other party’s point of view; taking off our cultural lens to avoid misinterpretation. It’s rare to have voluntarily win-lose situations. Whether you are working on a special assignment across department, negotiating a large agreement with a customer or asking for a pay raise, respect your interlocutor.

    It may sometimes be hard. There are situations when feelings obfuscate judgment. Take as a general rule that no win-win situation can happen without respect. Respect works both ways: respect the other party and respect your words. Nothing’s worse than breaking a promise.

    Listen

    With respect comes listening. This is one of the most important leadership skills. I already wrote about “listening with fascination”. Listening without interrupting and judging shows respect, and is needed to understand the complete point of view. There is an old saying that goes by since we have two ears and one mouth, we need to listen twice as more as we talk.

    You can take notes while your interlocutors speak. But remember to acknowledging by nodding from time to time, by looking right into the eyes of the speaker, and by virtually inviting him or her to speak freely. Demonstrating visual feedback is important.

    Talk

    Then comes the time of talking. Allow me to be clear: you cannot convince somebody of something if you have not shown respect and listen intensely first. This will now allow you to talk the talk, to convey your point of view, to ask question and to make your point. Question the other party! Try to go deep and subtly sink your views in the conversation.

    Remember the cat tail and the dog tail: different cues may have different meanings. However, our power over the animals is the ability to listen and talk. If you respect, listen and talk, in that order, with enthusiasm and fascination, you can solve any tense or conflicting situation.

  • Comment écrire votre vieHow to write your life

    Comment écrire votre vieHow to write your life

    Samedi était pluvieux. Ce fut juste parfait pour regarder un film en famille. Et j’en avais mis un de côté : Chasing Mavericks. Pour ceux qui n’ont pas vu le film et ne connaissent pas le monde du surf, Mavericks est une vague gigantesque située en Californie surfée uniquement par les meilleurs surfeurs. Le film est fondé sur l’histoire vraie du surfeur Jay Moriarity.

    Le surf n’est pas qu’un sport, c’est un mode vie. Cependant, le film va au-delà du mode de vie et enseigne plusieurs sagesses. Jay vivait le surf au quotidien, mais avait surtout une passion pour la vie et pour écrire sa propre vie.

    Travaillez dur, jouez avec conviction

    Une des premières leçons du film est de se lever tôt et travailler dur. Frosty, le mentor et coach de Jay, ne lui permettra de surfer Mavericks qu’à la condition qu’il soit capable de pagayer 36 milles entre Santa Criz et Monterey. Il ne s’agit pas d’une courte distance, et cela va nécessaiter un peu d’entrainement. Cependant, l’objectif est défini, car surfer Mavericks va nécessiter une condition physique au top. Pas de puissance, pas de drop off, et donc pas de surf !

    En même temps, surfer Mavericks n’est accessible qu’à quelques individus dont les capacités sont au-delà de la moyenne. Si vous voulez jouer a l’altitude de ces individus, vous devrez dépasser vos limites. Des efforts moyens engendrent des résultats moyens. Fuyez la médiocrité !

    Apprenez à compter

    Surfer Mavericks n’est pas uniquement de savoir surfer à ses propres limites. Il s’agit aussi de savoir « lire la mer », de compter les secondes entre deux vagues pour en anticiper la hauteur et de faire attention au possible changement d’inclinaison. Vous devez connaitre votre affaire ! La vraie vie commence dans votre esprit, mais cela ne doit pas rester un rêve. Le gens qui rencontrent le succès sont ceux qui combinent connaissances et compétences.

    Connaissances et compétences s’acquièrent. Toute personne qui a du succès fut comme tout un chacun. Elle ne connaissait pas ce qu’elle connait aujourd’hui. Elle ne faisait pas ce qu’elle fait aujourd’hui. Elle a appris, appliqué et parfois échoué. Le succès n’arrive pas, il est créé !

    La resilience est clé

    Dans son entrainement, Jay apprend à retenir son soufflé pendant quatre minutes. Essayez ! Si vous arrivez à deux, minutes, felicitations ! Quatre minutes est incroyable. Mais retenir son souffle pendant quatre minutes dans une machine à laver est une autre performance. Une fois la compétence acquise et utilise pour vous sauver la vie, il faut retourner au sommet de la vague !

    Et il s’agit de la conclusion logique du film. Bien que sa première tentative se solde par un échec, Jay est venu pour surfer Mavericks. Donc après avoir passé de longues minutes sous l’eau écrasé par les vagues et les remous, il y retourne pour cette fois vaincre le monstre. L’échec n’est pas une fin, il s’agit juste d’une leçon à apprendre. Vous devez aller au-delà pour trouver le succès.

    Le psychologue français Boris Cyrulnik parle de la résilience. Une capacité à rebondir après une expérience traumatisante. Comme je l’ai dit dans un précédent article, il n’y a qu’une seule réalité et c’est ici et maintenant. Servez-vous du présent pour créer le future, pas regretter le passé.

    Au final, ce samedi pluvieux fut un bon jour. Un jour de partage familial et un jour d’apprentissage pour les enfants. Certes, comme Chasing Mavericks est une histoire, il est triste de savoir que Jay Moriarity est mort à 22 ans. Cependant la plus grande leçon du film est qu’écrire sa vie est plus important que de la laisser écrire par quelqu’un d’autre.

    Saturday was a rainy day. It was just perfect to have a family moment watching a good movie. And I had one prepared: Chasing Mavericks. For those who have not seen the film and are not into surfing, Mavericks is a big big wave in California that only gets surfed by the best of the best. The film is based on the true story of Jay Moriarity on how to surf Mavericks.

    Surfing is a more than a sport, it’s a lifestyle. However, the film goes beyond the lifestyle and teaches many wisdoms. One can say that Jay was inhabited by surfing, but above all he had a passion for life and particularly for writing his own life.

    Work hard, play hard

    One of the first lessons of the film is about waking up early and working hard. Frosty, Jay’s mentor and coach, allows him to surf Mavericks only if he can paddle for 36 miles, crossing from Santa Cruz to Monterey. It’s not a small distance and it requires serious training. The bar is set, because surfing such a wave requires power to paddle at the drop. No strength, no drop!

    At the same time, surfing Mavericks is something done by the few individuals with skills beyond normal human beings. If you want to play at the altitude of highly successful individuals, you need to go beyond your limits. Average efforts yield average results. Abhor average!

    Learn to count

    Surfing Mavericks is not only about being able to surf at your limits. It’s also about “reading the water”, counting seconds between waves to anticipate height and look for possible drift. You need to know your stage. Real life starts in your mind, but real life is not a dream. Successful people are those who combine knowledge and skills.

    Knowledge and skills are acquired. Successful people were like you one day. They did not know what they know. They did not do what they do. The learned, they applied, and sometimes they failed. Success does not happen, it’s created!

    Resilience is key

    In his training, Jay learns to hold his breath for four minutes. Try it! If you get to two minutes, you can give you a pat on the back. Four minutes is just incredible. Now, imagine holding your breath for four minutes while being in a washing machine. It’s a different ball game. Once you acquired the skill and have used it to save your life, you need to be able to go back to square one, at the drop of the wave.

    And this is the tipping point of the film. Although his first attempt is a failure, Jay came to surf Mavericks. He has a goal. He got prepared for it. He has to do it. So after spending some long minutes in the inferno of huge breaking waves, holding his breath, he paddles back, gets on his board and tames the monster! Failure is not the end, it’s just a lesson to learn. You need to go beyond failure to find success.

    French psychologist Boris Cyrulnik is calling this resilience: A capability to learn from failures. As said in a previous article, there is only one reality and it’s the present. Use it to create your future, not to regret your past!

    Overall, this rainy Saturday was a great day. A day of bonding with the family and a day of learning for the kids. They found it sad that the real Jay died at the age of 22, but they discovered that writing your life was more important that having it written by somebody else!