• Jour 225 – Aéroport

    Aéroport. Celui-là était facile, ayant passé de nombreuses heures dans les aéroports ces 3 dernières semaines. Les aéroports sont des lieux fascinants, au point qu’ils ont servi de plateforme à de nombreux films. Certain y ayant même été filmés en totalité. Il n’est pas de lieux dans lequel tant de brassage culturel existe. En l’espace de quelques minutes, vous entendez parler toutes les langues de la terre, croiser tous ses peuples et êtes confrontés à toutes ses religions.

    Ce sont des lieux de passage, de transit. On y verse des larmes de tristesse et des larmes de joie. On s’y sépare, on s’y retrouve. Ce sont surtout des portes, un peu comme dans les films de science-fiction, une porte s’ouvre et vous voilà propulsé dans un autre monde. L’aéroport est porteur d’espoir, d’un futur qui commence à se construire le jour où on prend ce billet qui nous emmènera ailleurs.

  • Jour 224 – Monde connecté

    Monde connecté. Le monde moderne est connecté à un point que l’humain moyen a les yeux rivés sur l’écran de son smartphone, de sa tablette ou de son ordinateur. Super désagréable, n’est-ce pas ? Impossible de discuter plus de cinq minutes avec quelqu’un sans qu’il jette un (ou plusieurs) coup d’œil sur son téléphone.

  • Jour 223 – Râleur

    Râleur. Ras-le bol des râleurs ! Bon, d’accord, les 30 premières années de ma vie, j’ai vraisemblablement fait partie du club des plus gros râleurs, mais j’ai appris. J’ai appris que râler est une émotion négative qui n’apporte pas grand-chose. Certes, râler a l’avantage de relâcher la tension, de vomir ce que l’on a au fond de la gorge, mais cela à l’immense inconvénient de continuer à ruminer le problème au lieu de trouver une solution.

    Comme Robin Sharma l’a écrit : « les victimes parlent de problèmes, les leaders proposent des solutions. » Je ne dis pas que tous les râleurs sont des victimes, mais râler à propos de problèmes sur lesquels nous n’avons aucune prise ou vis-à-vis desquels nous ne prenons aucune action positive est du temps et de l’énergie perdue. Mieux vaut se focaliser sur ce sur quoi nous avons de l’influence et laisser passer le reste.

    Un exemple ? Les impôts ! Tout le monde râle à propos des impôts. Cela ne va pas les diminuer, n’est-ce pas ? Trois actions possibles : devenir Ministre des Finances pour influencer le montant des impôts, définir comment en payer moins légalement, augmenter son revenu pour que la douloureuse soit moins pénible. Dans les trois cas, ce sont des actions pour trouver des solutions. Bien évidemment, cela va demander des efforts, mais, comme je l’ai déjà dit, rien ne se fait de grand sans travail !!

  • Jour 222 – Ordinateur personnel

    computerOrdinateur personnel. Cela fera plus de 35 ans que j’ai découvert l’ordinateur personnel. De l’Apple II, au Commodore 64 en passant par l’Amstrad CPC 664 et le ZX 81, puis l’IBM PC, j’ai connu les débuts de l’ordinateur personnel, puis toutes ses itérations depuis, sans jamais me lasser. Puis, j’ai vu passer toutes les marques, aujourd’hui disparues ou ayant connues des fortunes diverses, Gateway, IBM, Dell, Compaq. Les hauts et les bas d’Apple jusqu’au retour de Steve Jobs et l’ascension que l’on connait maintenant.

    Depuis toutes ces années, j’ai toujours eu des ordinateurs personnels, du desktop au laptop en passant par le serveur domestique. Ils occupent un point central de ma vie professionnelle et personnelle. Reconnaissons aussi qu’ils sont devenus incontournables et font partie de notre vie. Impossible de s’en passer. Ajoutez-y Internet et vous aurez les ingrédients essentiels de la vie moderne. L’ordinateur personnel, une incroyable épopée d’un peu moins de cinquante ans.

  • Jour 221 – Souris

    sourisSouris. Pas l’animal, le petit engin posé à côté de votre ordinateur. Il faut bien le reconnaitre, il y a trois choses qui n’ont pas vraiment changé depuis l’apparition du premier ordinateur personnel : l’écran, le clavier et la souris. Alors, oui on a les tablettes et leur côté tactile, oui les écrans sont devenus plus ou moins HD, les claviers sont rétro éclairés, mais les moyens de communiquer avec l’ordinateur et de voir les résultats de cette communication sont restés les mêmes. Sans doute parce que nos mains et nos yeux sont essentiels à cette communication.

    La révolution de la voix n’est pas encore bien ancrée, et puis psychologiquement, ce n’est pas toujours simple de parler (et de se faire comprendre) à une machine. Si Siri et Cortana, les assistants vocaux et mobiles d’Apple et de Cortana commencent à démocratiser l’interaction vocale, je vais toujours plus vite pour taper ce texte avec un clavier qu’avec mon micro. Ce n’est pas faute d’avoir essayé ces quinze dernières années, mais je suis plus rapide avec dix doigts que la machine en mode dictée… Je suis cependant persuadé qu’on y arrivera. En attendant, j’aime toujours autant mon clavier et ma souris.

  • Jour 220 – Petites Choses

    petites chosesPetites choses. Les petites choses du quotidien qui nous font sourire ou grimacer. Cependant, quand j’écrivais « petites choses », je pensais « petits bonheurs », donc pour la grimace, on repassera. Ces petites choses donc nous offre un rayon de soleil qui réchauffe le cœur : la lumière d’une étoile, le goût d’une mirabelle, le soleil qui sort des nuages après la pluie, etc.

    Toutes ces petites choses empilées au long de la journée nous offre le bonheur dont tout être humain a besoin. En plus, elles sont gratuites. Il suffit de les remarquer et de mettre un sourire sur notre visage. Le bonheur ne coûte rien, il est fait de presque rien, c’est pourquoi il est fragile. Toutes ces petites choses empilées nous le rappellent tous les jours.

  • Jour 219 – Foncer

    24heuresFoncer. Une fois une décision prise, inutile de tergiverser, foncez ! La rapidité est devenue un atout de nos jours. Certes la réflexion est importante et il est des cas, où il convient de faire un check-up. Je prendrais l’analogie avec les 24 Heures du Mans. La voiture qui gagne est celle qui équilibre vitesse et arrêts au stand.

    Dans nos décisions, il s’agit de trouver cet équilibre entre vitesse et entretien, entre préparation et vitesse d’exécution. Trouver l’équilibre n’est pas chose aisée, mais il ne peut être trouvé qu’en privilégiant la vitesse d’exécution. C’est elle qui vous donnera l’avantage sur le marché et les concurrents. L’arrêt au stand attendra, foncez !

  • Jour 218 – Engagement

    Engagement. Engagez-vous, qu’ils nous disaient. Oh, je ne parle pas de s’engager dans l’armée, mais de s’engager dans ce que l’on fait. Si vous devez faire quelque chose, faites-le à fond, où ne faites pas. C’est aussi simple que cela ! En fait, cela parait simple, mais cela demande un effort conscient : une décision et une qualité d’action.

    L’engagement, c’est ce qui différencie l’action exceptionnelle de l’action simple, la performance exceptionnelle de la performance simple, l’excellence du normal. En s’engageant, on donne tout ce que l’on a, et même un peu plus. On va un peu plus loin, non pour prouver à l’autre que l’on en est capable, mais pour ce le prouver à soi ! Alors, à la prochaine occasion, engagez-vous et montrez ce que l’excellence peut produire !

  • Jour 217 – Spark

    SparkSpark. Un mot anglais dans un article en français, car le livre qui porte ce titre, Spark, n’existe pas en français, ou en tout cas, je ne l’ai pas trouvé s’il existe. Pourtant, il est essentiel. En substance, ce livre explique comment l’exercice physique est nécessaire au développement du cerveau. Il ne s’agit pas que d’entretenir son corps, mais de développer, de remodeler son cerveau, voire de le rajeunir.

    Ce livre est révolutionnaire dans son approche, tout comme les écoles que l’auteur prend en exemple. Je ne peux que vous conseiller sa lecture si vous lisez en anglais, et sinon d’en retenir l’essentiel : l’exercice physique (provoquant augmentation du rythme cardiaque et transpiration) trois à quatre fois par semaine, trente à quarante minutes minimum, permet de développer ses fonctions cérébrales et potentiellement de diminuer les risques de dégénérescences, comme la maladie d’Alzheimer. Alors, à vos baskets !

  • Jour 216 – Tablette

    surfaceTablette. Le taux d’équipement en tablette est proche de la saturation dit-on. Tout le monde a la sienne. Qu’elle soit Android, iOS ou Windows, elle a un attrait certain. J’en ai eu quelques-unes depuis ces années, de toutes les marques ou presque, et mon point de vue est simple. Il y a deux types de tablettes (pas plus) : celles faites pour les loisirs et celles faites pour travailler.

    Je mets dans les loisirs, les jeux, le multimédia et l’internet. Choisissez celle qui vous plait tant pour son design que son prix. En ce qui concerne le travail, la question est différente et les quatre facteurs déterminants sont : les applications, la rapidité, l’autonomie et le clavier.

    Les applications dont vous avez besoin doivent exister sur cette tablette. Elle doit être aussi rapide voire plus que votre ordinateur habituel. L’autonomie doit être celle qui vous convient : si vous voyagez souvent et avez besoin de 4 heures minimum, vous avez votre seuil. C’est l’usage qui définit l’autonomie, pas le constructeur ou le prix. Le clavier qui y est associé ou qui peut y être associé doit être fonctionnel et professionnel. Si ces quatre critères sont là, cette tablette peut aussi, sans doute, devenir une tablette de loisir. Bon travail !