La crise, quelle crise ?

  • Nothing is given, you have to take it…

    https://unsplash.com/aleskrivec
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    Day 572 I HATE this feeling of entitlement more and more people have nowadays. People feels entitled although nothing come for free, not without efforts. There’s always a price to pay. Most of the time now, this price is hidden and we may not realize we pay it. Free of charge internet comes with ads. Free of charge pension comes with additional tax. Free of charge plastic bags come with killing nature. And so on. Whatever you do, realize that even free things comes at a price, that you are entitled to nothing.

    Nothing is given, nothing comes for free. You have to work, hard, you have to ask for it, you have to take it. If you think successful and fulfilled people are lucky, think again. Some people are lucky, that’s true, but most of them have tried, failed and tried again, until success. Luck comes with failure, luck comes with hard work, and luck comes with trying and trying. Next time, you think you’re entitled to something, think again, and work for it!

  • All you need is love… The Beatles

    https://pixabay.com/fr/users/Unsplash-242387/
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    Jour 571. Je vous ai bien eu. Un titre en anglais et un billet en français. C’est pour deux raisons : la première est que notre COO, Kevin Turner, a clôturé le Company Meeting annuel sur le thème de l’amour, et que tu coup, j’ai eu cette chanson des Beatles dans la tête. Mon esprit français frondeur rejette de prime abord l’idée de l’amour professionnel : il faut aimer ses collègues, aimer son environnement de travail, aimer son boulot, etc. Les Américains n’ont pas de problème avec ça, c’est l’essence même du rêve américain et des méthodes de développement personnel, un business de plusieurs milliards de dollars. Et c’est le message qu’a cherché à faire passer Kevin (KT pour les Microsoftees, prononcés kaiti, comme ses initiales en anglais).

    Alors oui, de prime abord, cela semble débile, enfantin, ridicule. Et puis, quand on y réfléchit, on réalise que l’amour, l’affection que les autres nous portent, fait partie des besoins définis par Maslow. Sans amour, il n’est pas d’accomplissement personnel possible. Simple et pourtant si compliqué. L’amour n’a généralement pas sa place dans le milieu professionnel et pourtant s’il en est exclu, le travail devient sans substance. Fais ce que tu aimes, aimes ce que tu fais. Des millions de page ont été écrites sur ces thèmes de l’amour du travail, de l’amour des autres, de l’amour de sa vie.

    Alors, après le premier sourire en coin, on réalise vite qu’en ajoutant de l’intérêt, de l’estime et de l’amour, inconditionnel, on transforme durablement sa relation aux autres et à son travail. On crée un environnement propice à l’épanouissement de l’estime de soi. Vous n’avez sans doute pas uniquement besoin d’amour comme le chantaient les Beatles, mais c’est un composant essentiel d’une vie épanouie.

  • All things excellent are as difficult as they are rare

    Day 570. This quote from philosopher Spinoza has been used two days ago by Satya Nadella, Microsoft’s CEO, during his keynote to sales and marketing employee, at the annual company meeting. To give more thought about this simple sentence, I found this article that puts it into perspective. Worth five minutes of your time.

    J 570

  • Productivité, internet, apps… 7 principes pour rester au top

    https://unsplash.com/jonathanvez
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    Jour 569. Depuis quelques jours aux États-Unis, il est impossible d’échapper à l’ubiquité d’internet. Où que vous alliez, quoi que vous fassiez, il y a toujours un QRCode à scanner, une application à télécharger, un service à utiliser. Tout ceci ne devrait pas aller en s’améliorant dans les années à venir avec, entre autre, l’avènement de l’internet des objets. La question qui se pose donc est comment ne pas succomber à cette boulimie applicative et connective ? Voici les sept principes que j’applique à toutes les applications sur mon téléphone, ma tablette et mon portable.

    1. Utilisée au moins une fois par jour. Une application ne reste que si je m’en sers quotidiennement. Une utilisation inférieure indique que soit la tâche pour laquelle je l’utilise a peu d’importance et il convient d’en revoir l’utilité dans l’atteinte des objectifs en cours, ou que cette tâche peut sans doute être effectuée avec une autre application.
    2. Liée à au moins une autre application. La puissance de l’informatique est indéniablement dans l’intégration. Une application qui n’échange pas de données avec une ou plusieurs autres applications n’a aucun intérêt à mes yeux. Ainsi, mon application bancaire échange ses données avec Excel, Word est lié à WordPress, etc.
    3. Intégrée aux réseaux sociaux. Que ce soit Facebook, Twitter, LinkedIn ou Yammer, il doit pouvoir être possible de publier directement des informations, voire d’automatiser cette publication, sans sortir de l’application, sans faire de copier-coller.
    4. Sur tous les appareils. Si je devais classer ces principes, celui-ci serait numéro un. Dans un monde connecté et mobile, n’importe laquelle de mes machines doit pouvoir me permettre ce que j’ai à faire, même en mode dégradée par exemple sur un téléphone, en raison de la taille de l’écran.
    5. Une seule identité. Je suis une seule personne, je dois donc pouvoir utiliser une identité unique sur l’ensemble des applications. Là encore Twitter, About.me, Facebook, Office, etc. ne connaissent qu’un seul Marc Israel, et doivent permettre de m’identifier sans avoir à gérer une pléthore de mot de passe.
    6. Sauvegarde automatique en ligne. Si mes données soient enregistrées en local sur l’appareil que j’utilise, avec une connexion ou non, elles doivent pouvoir être enregistrées automatiquement sans que je m’en aperçoive dans le cloud. Ceci afin de pouvoir être récupérées en cas de problème matériel, ou permettre le changement d’appareil ou la mise à jour de l’OS sans rien perdre et surtout en récupérant documents et paramètres automatiquement.
    7. Sécurité. Si je n’ai qu’une seule identité, il est crucial que celle-ci et mes documents soient en toute sécurité. La sécurité est un sujet complexe. Avec un peu de bon sens et de recherche sur les éditeurs des apps utilisées, il est possible de faire une bonne évaluation des risques pris et de prendre les décisions qui s’imposent. Ceci étant, il ne faut pas non plus sombrer dans la paranoïa, un peu de prudence n’est jamais négatif.

    Chacun a ses petites manies. La mienne est de ne tolérer que le meilleur pour mes apps. Il reste encore beaucoup de chemin sur l’intégration de toutes ces applications, et cela ouvre la porte à de fantastiques opportunités. Le futur est définitivement passionnant !

  • A designer knows he has achieved perfection not when there is nothing left to add, but when there is nothing left to take away. St Exupery.

    Day 568. Simplify, simplify, simplify. « A designer knows he has achieved perfection not when there is nothing left to add, but when there is nothing left to take away. » St Exupery.

    J 568

  • 4 simple steps to make your dreams real

    https://unsplash.com/dyaaeldin
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    Day 567. The best dreams are those that can become real. We live in a real world, being happy and fulfilled requires to enjoy the life we live. A lot of people tend to think dreams are meant to stay dreams. I believe dreams are made to become real. This gives a purpose to our efforts, guides our steps, and pushes us to grow. Of course, if you dream humanly impossible dreams, like walking on Pluto for instance, you need to rethink your dreams. However, you can scale them down to stretch you while providing a goal to reach.

    So how do make your dreams real. It’s simple, although it may not be easy:

    1. Ensure your dream is achievable. If you dream to walk on Pluto, rethink! A dream can be huge and it has to be achievable, otherwise you will live an unsatisfied life.
    2. List the steps to reach your dream. If you want to fly a jet, look for the possibilities, find the expert, and write the necessary steps you’ll need to go through.
    3. List resources required to make each step real. Go deep, define time and money needed. Once again be realistic, and bold! Once done, you will be light-years ahead most people.
    4. Start now. Imagination without action is hallucination. You did not come that far just to look at the plan and not execute it. It may be hard and long, but it’s worth it! Go!

    Achieving your dreams is a worthy endeavor. It pushes you, it propels you and it gives your live a purpose. If life has been tough, dreams can help make it sparkle. Of course, there will be hard times and setback. Failure is necessary for any success as it provides learning. But as it’s been said, succeeding is failing a hundred times and getting back a hundred and one times. Do not wait any longer, each of us deserve to realize our dreams, just create the ideal dream catcher and run with it!

  • Si vous ne savez pas, demandez ! 3 caractéristiques d’une question efficace

    https://pixabay.com/en/users/geralt-9301/
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    Jour 566. A l’époque d’internet, toute question trouve sa réponse en quelques instants. Il est donc « normal » de ne pas tout savoir. Cependant, quand on pose une question à quelqu’un, si on souhaite une réponse précise, il convient de poser une question précise. La pose de question précise, Precision questionning en anglais, est une matière en elle-même enseignée, entre autre, à Stanford.

    Il s’agit d’un ensemble de technique permettant la réflexion critique, la résolution de problèmes et la prise de décisions. Sans rentrer dans les détails de ces techniques, j’ai appris, il y dans le milieu militaire, les trois caractéristiques d’une communication et d’une question efficace. Les voici :

    • Clair. Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément, écrivait Boileau. Pour être claire, il convient d’utiliser des mots simples et compréhensifs pour votre interlocuteur. De même, pas de formule ou de conjugaison alambiqués.
    • Précis. C’est ce qui est souvent le plus difficile, et pourtant le plus important. Que la question soit ouverte ou fermée, il faut qu’elle soit le plus précise possible pour éviter les ambiguïtés et surtout les réponses à rallonge qui tentent de « noyer le poisson ».
    • Concis. Faites cours ! Be bright, be brief, be gone, disent les Américains. En français : montrez-vous intelligent, soyez bref et partez ! Plus c’est court, mieux c’est et plus cela appelle une réponse elle aussi claire, précise et concise.

    C’est comme tout, cela demande un peu d’entrainement. Une dernière caractéristique est de ne traiter qu’un seul sujet à la fois. Si vous devez en aborder plusieurs, posez autant de questions qu’il y a de sujets. Avec l’habitude, cela deviendra une seconde nature et améliorera grandement votre productivité et la résolution de problèmes. Allez, en piste !

  • 5 deadliest leadership mistakes

    https://pixabay.com/en/users/saulhm-31267/
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    Day 565. Leadership can be learned. As there are positive leadership traits, there are deadly mistakes for any aspiring leader. Here are 5 that I consider the deadliest:

    1. Over committing, under delivering. A promise given is a promise delivered, or suffer the consequences! Yes, sh*t happens, and if it happens, give the bad news early. Always exceed expectations to build credibility and trust
    2. Speaking more than listening. We have two ears and one mouth, it’s to listen twice as much as we speak. Ask question, listen with fascination, and learn from others.
    3. Getting too much number focused and too little people focused. Yes, rule number one tells that the achievement of your metrics is important, but to exceed them, you need people. By focusing on people, numbers will take care partially of themselves. Never hide behind Excel, show yourself in front of others.
    4. Blaming others. Take your own responsibilities. Yes, a direct report may have f*cked up, but he/she’s your direct report and you are in charge. Take ownership, fix the issue, and ensure this will not happen again. Either we win or we learn, always by standing on our feet, not on others’.
    5. Making excuses. I am not sure it’s worse than blaming others or not, but making excuses is to me, like in the song: « It was not me! » You can say sorry, but only to accept the consequences of your mistakes. Excuses are useless and undermine credibility and trust. Ask yourself why you failed, what you learned, and what you’ve done. Once again, sit in the driver’s seat.

    Leadership is hard, leadership is rewarding, and leadership is a choice, your choice. And remember, most mistakes are not fatal, you need to learn from them to avoid them. One last piece: if you working environment has leaders that expose those traits, leave! They are toxic. I know it’s easier said than done, however, it’s like drugs: short-term relief, long-term death!

  • Si on se moque de vous, c’est que vous êtes sur la bonne voix

    https://unsplash.com/needle50k
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    Jour 564. Tiens, un titre en français ! Plusieurs d’entre vous m’ont demandé de réécrire en français. Je vais donc faire un billet de temps en temps en français. Cela va dérouiller ma grammaire. Je pensais aujourd’hui, à quelques milliers de mètres d’altitude, aux moments où d’autres se sont moqués de nous. De notre façon de nous habiller, de notre accent ou de nos idées.

    Le fait est que ce sont les nôtres, ce sont le reflet de qui nous sommes ou tout du moins des questions que l’on se pose. Et en ce sens, c’est nous ! Même si cela peut sembler contre intuitif de prime abord, quand autrui se moque, il convient de ne pas réagir négativement, mais d’y voir un signe de la différence de chaque être humain. Comme le disais Oscar Wilde : « Soyez vous-mêmes, tous les autres sont déjà pris. »

    Les différences, les idées hétérodoxes et la résistance à l’homogénéité sont un signe d’évolution. Cultivons nos différences !

  • First times are always great learnings

    Day 563. It’s about confronting fear, it’s about going to the unknown, and it’s about growing. Today, we are starting a social media campaign around our first times, following our partnership for the last 18 months with the African cycling team MTN Qhubeka’s first participation to the Tour de France. It has not been simple, neither for them nor for us, because for them, is their first on the Tour de France, the most mythical cycling team. For us, because it was our first sport sponsorship experience and we had to go through a journey to understand how to do this.

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    Today, I am proud of my first time and of the team’s. It’s been a ride, but so much rewarding! So, even if you are not into cycling, go and have a look at the Tour de France, look for the MTN Qhubeka jerseys, and be part of the excitement! Another 10 days before the arrival on the Champs Elysées in Paris, through the Pyrénées and the Alps, so some wonderful moments to share and hope that the team will continue to shine!

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