Jour 257 – Dur, Dur….

durDur, dur… Pas la chanson d’Alex et les lézards (pour ceux qui s’en souviennent, il faut dire qu’elle n’a pas laissé un souvenir impérissable), mais juste le fait que certains matins, ce n’est pas simple de trouver un thème, une idée, les mots… Et ce matin, c’est le cas, alors comment ça marche quand on n’a pas l’inspiration. Et bien on part de rien, dur, dur, et on laisse les doigts courir sur le clavier.

Et puis la magie opère, car l’action entraine l’action, les idées s’enchainent et les connexions neuronales s’enchainent naturellement, sans qu’on ait besoin d’y réfléchir. Cela m’étonne et m’émerveille toujours. Hemingway écrivait tous les jours, quoi qu’il arrive. On trouve sur les blogs de nombreux auteurs que le seul moyen de vaincre l’angoisse de la page blanche est de commencer à écrire, y compris n’importe quoi, puis de laisser les doigts faire le reste.

C’est le premier pas, les premières lettres qui déclenchent le reste. Comme si on glissait la clé dans la serrure et que la porte s’ouvrait toute seule. La prochaine fois, pensez-y, ce n’est pas de produire qui est difficile, c’est de commencer. Mais il est possible de rendre ce commencement simple en s’y mettant tout simplement… C’est magique !

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